Mission 1

L'équipe d'Horatio tait sur une nouvelle enquête. Un homme retrouver mort au bord de la route. D'après les toutes premières constatations, il avat été assassiné par strangulation, sûrement ailleur puis transporté, aucunes voitures n'avaient été abandonnée non loin et l'homme n'avait sur lui aucuns papiers permettant de l'identifier.

Puis ils étaient rentrés et Alexx avait pratiqué des relevés d'emoruntes et une autopsie en ce moment. Mais elle avait transmis à Nina les empruntes.

Nina avait donc foncé à la salle d'ordinateurs afin de retrouver le propriétaire des empruntes. Elle rentra les documents dans la machine et lança une analyse. Des centaines de fichiers d'empruntes défilaient à une vitesse fulgurante. Nina observa l'écran, les bras croisés sur sa poitrine.

Soudain, un fichier s'arrêta et Nina décroisa les bras. Elle posa une main sur le bureau et s'appuya dessus, se penchant pour bien lire, tranquillement. Finalement, elle marmonna pour elle même:

"Georges Bryan, arrêté pour excès de vitesse il y a... hum six mois ! Ok, quelles autres informations tu peu m'apporter l'engin ?"lâcha-t-elle à l'adresse de la machine.

Elle pianota quelques secondes sur le bureau, dans l'attente que s'affichent d'autres informations.

modératrice Nombre de messages : 17 Date d'inscription : 09/05/2007

Il est divorcé depuis 2ans, à une fille de 5ans.

Adresses :
de sa femme : (maison) 26 rue Lincoln dans la banlieue de Miami (près du lieu du meurtre)
de la victime : (appartement) immeuble 46 de l'avenue stanford, appartement 36

métier : travaille de nuit dans une usine de textile

Horatio était arrivé peu de temps après l'intervention qu'il avait du faire entre Emmy et Ryan, intervention qu'il assimilait dans sa tête aux mission des casques bleus de l'ONU dans les pays en état de guerre. Il commmençait d'ailleurs à songer qu'étant donné la tournure que prenaient les évennements, il allait devoir dénicher un de ces fameux casques. Avec sa nièce dans les parages, il allait en avoir plus que besoin.
D'aiilleurs, elle se trouvait à coté de lui. Il avait failli oublier. Lorsqu'il était plongé dans ce genre de réflexions, il avait une tendance maladive à oublier qu'il n'était pas seul sur sa planète mais bel et bien encré sur terre aux cotés d'autre êtres de son espèce...
Il avait intimé à Emmy de se taire et s'était approché discrètement de Nina, histoir ede créer un effet de surprise. Lisant par dessus son épaule, une petite ride, symptome de réflexion intense, vint perturber la régularité de son front d'homme.
La victime avait une fille. Or, si l'on en croyait les résultats d'anlyse, il était sans doute pédophile. L'usine de textile excluant la possibilité qu'il ait attrapé les substances retrouvées sur son corps sur son lieu de travail. Sa femme avait divorcé. Il n'aurait pas été étonant que cet homme, perturbé par la sollitude qu'avait causée le départ de sa femme, voie en sa fille une reproduction miniature de son amour perdu et veuille abuser d'elle.
En même temps, une fillette de 5 ans aurait eut du mal à l'étrangler à main nues. Ouf, elle ne pouvait donc pas être considèrée comme suspecte.
Sortant de cette pensée aussi stupide qu'inutile, il remarqua soudain une étrange coincidence. L'adresse de la femme de la victime se trouvait tout près du lieu du crime.
Sans doute l'homme avait il voulut récupèrer sa fille et avait rendu visiteà sa femme dans le but de lui enlever la fillette. L'entretient aurait alors mal tourné, laissant comme seul souvenir un cadavre...
Si c'était le cas, alors l'adresse leur donnait non seulement la scène de crime mais aussi le véhicule dans lequel on avait transporté le corps.

Bien. On sait ce qu'il nous reste à faire. On va rendre visite à cette femme

Emmy ne dit rien comme lui avait demandé son oncle. De toute façon, elle n’aurait rien dit du tout. C’était sa manière à elle de montrer qu’elle se sentait coupable, qu’elle était désolée. Une sorte de tic de famille, faire passer les messages autre que par la parole. Les mains dans le dos elle attendait, son oncle lut les résultats des recherches et Emmy s’approcha un tout petit peu, au moins pour lire les grandes lignes. Ces informations allait peut être confirmait son hypothèse, c’était un bon début. L’autre nouvelle avait commencée mieux qu’elle en tout cas. Elle ne s’était pas encore disputée, ou plutôt, n’avait pas péter de câble devant un scientifique de l’équipe. Pendant ces prochains jours, cela allait être intenable : ce regard mêlé de perplexité et de peur… Elle connaissait trop bien pour le supporter longtemps. D’abord dans les yeux de son père, déjà un peu dans ceux de son oncle et maintenant, cette histoire allait faire le tour de tout le bâtiment et elle serait désignée comme étant la psychopathe de service, ils la poursuivraient dans la forêt avec des torches. Elle chassa de sa tête cette prévision, peut être fausse, en tous cas elle l’espérait, pour se concentrer sur les informations. Peut être que le divorce avait été causé à cause des attouchements sur la petite fille. Souvent, les affaires en famille se réglaient en famille et les parents ne voulaient pas que la police s’en charge, ayant peur que l’histoire fasse le tour de tout leur entourage. Pour préserver leurs images et aussi pour se déculpabiliser, les mère n’ayant pas remarquer le fait que leur enfant était en difficulté et qui l’apprenne soudainement, surprenant le mari sur le fait au pire ou de la bouche de l’enfant concerné, rejette souvent la vérité et font taire l’enfant. Les parents se séparent dans 90% des cas et ensuite, l’enfant grandit avec ce poids et ont créer des suicidaires, des meurtriers traumatisés et surtout, des violeurs et pédophiles en liberté… Sa spécialisation de profiler était mit en marche, elle était entrain de se mettre dans la tête de trois personne en même temps : la mère, le père et la fille. Elle n’était pas douée pour déchiffrer la sienne, mais les réactions tellement conformes à la moyenne des suspects lui permettait de savoir ce qu’allait certainement faire les gens.
A présent ils allaient chez cette femme. Horatio parlerait certainement à la petite fille. Elle connaissait sa personnalité très empathique et généralement, d’après ce qu’elle avait entendue sur lui à l’école de police scientifique dans laquelle il était célèbre, les enfants avaient très souvent directement confiance en lui.

Nina n'entendit pas Horatio derrière elle et fut surprise de sa présence, lorsqu'elle le remarqua au dessus de son épaule lisant les informations. Elle eut un petit sourire malicieux et replongea sérieusement dans sa lecture.

Nina était assez écoeurée et peinée à l'idée que la petite fille est put subire des attouchements de la part de son père. Elle ferma les yeux et repensa un instant à son frère et ses soirées horribles qu'il lui faisait vivre. Elle les rouvrit avec un étrange calme. Elle ne plaignait pas le type qui était mort: ce qui lui était arriver était mérité. Et pourtant elle aurait aimé l'avoir en face et l'arrêté, la mort était une façon lâche pour lui de partir, sans avoir à affronter ses responsabilités, même si elle n'était pas prévut pour lui.

La jeune agent se demandait si la mère avait quelque chose à voir dans la mort du père. Si c'était le cas, elle en serait désolée plus que contrariée: elle avait permis à son mari de partir sans tracas et elle irait sûrement en prison. Où irait l'enfant ? En son fort intérieur, elle pria pour que la mère n'ait rien à voir à tout ça.

Malheuresement, beaucoup de choses affluaient en sa direction, comme pour la dénoncer. Mais Nina ne se fit pas d'idées, pas encore, pas déjà.

Elle se redressa et ajouta après Horatio:

"Allons y alors."

Et ils se dirigèrent au domicile de l'ex-femme de la victime.

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Nina revint dans la salle d'ordinateurs de recherches. Cela faisait la troisième fois qu'elle y venait. La première fois c'était pour trouver des informations personnelles sur l'identité de leur victime, désormais c'était pour trouver des informations et des rapports de police correspondants aux empruntes des fan d'Aya. Elle espérait sincèrement que l'une de ses empruntes donnerait une réponse décisive ou un élément important pour l'avancée de l'enquête.

Heureusement qu'elle avait prit deux cafés car ils n'étaient pas de trop pour tenir le rythme. En effet, avec une belle bosse et une plaie ouverte au crâne, il n'était pas des plus aisé de ce concentré sur l'écran. Elle voyait les images défilées rapidement, recherchant dans tous les fichiers de l'état des correspondances avec les empruntes. Une emprunte qui tournait depuis un bon quart d'heure s'arrêta pour affiché en grosses lettres rouges "N O M A T C H". Nina soupira à l'annonce qu'aucun fichiers ne correspondait avec cette emprunte. Elle lança machinalement une autre traces, espérant que celle-ci serait concluante.

Mike Sunderland (> aveugle depuis 1 semaine) > coup et blessure sur son ex femme

Nina décroisa un instant ses bras pour bailler, mettant sa main devant sa bouche. Elle trouvait le temps long. Elle avait lancé au total pas moins d'une dizaine de recherches mais aucunes ne correspondaient à un rapport, ne serait-ce qu'une mise en garde à vue, rien... L'analyse d'empruntes en cours était la dernière qui restait, celle de Mike Sunderland. La jeune agent désesperait de trouver quelque chose. Elle prit la plaque où étaient écrites pleins d'informations. C'était le travail de Michael Anderson. Elle le remercia intérieurement. Grâce à toutes les notes qu'il prenait, les enquêtes étaient plus méthodiques et donc mieux organisées. Elle y trouva quelques informations comme "aveugle depuis une semaine" et bien d'autres assez interessantes. Une la fit sourire "se triture les pouces". Un signe de stresse peut être ?

La machine produisit un petit son aigue et afficha en lettres vertes "M A T C H". Nina leva précipitemment les yeux vers l'écran et lut les informations inscrites. Apparement, ce Mike avait été inculpé pour coups et blessures sur son ex-femme. Nina voulait aller voir Ryan afin de prendre des nouvelles de ses propres analyses. Elle quitta donc la salle d'un pas décidé.

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