mission 2: so far to die / analyses

Cameron entra dans la salle des ordinateurs, matériel sous le bras. Deux scientifiques étaient affairés sur les ordinateurs du fond. Cameron s'assis près d'une fenêtre. Il posa tout son attirail sur une table et mis en marche la bécanne. Puis il entra son nom d'utilisateur et son code d'accès. il examina très rpidement le bureau qui s'ouvrait alors à lui et repéra très rapidement les îcones dont il aurait besoin. Il ouvrit donc un premier logiciel, qui luio permit de "scanner" les empreintes digitales elevaient sur la clenche. Trente seconde plus tard, le scientifique ouvrit une des deux empreintes sur un nouveau logiciel, et lança la recherche par points de comparaisons.
L'ordinateur facilitait vraiment le travail des enquêteurs, quand on pense qu'avant il fallait éplucher tous les registres d'empreintes en regardant à la loupe!
Celui-ci avait en plus l'air d'être corriace, Cameron n'attendit donc pas la fin de sa recherche pour ouvrir les registres d'adresses. Une fenêtre s'ouvrit dans un petit clinc, et le scientifique tapa " 56, Diamond street". Un plan de Miami s'ouvrit. Dessus clignotait un petit cercle qui indiquait le lieu.
Le scientifique regardait avec insistance l'emplacement désignait, il n'été jamais allé là-bas.
Puis il cliqua sur la petite imprimante en haut de l'écran. Une imprimante laser récente se mit alors en marche, et cracha tout ce que l'ordinateur pouvait dire sur cette adresse. Mais avant que Cameron ait pu s'emparer de la feuille, l'ordinateur émit un petit bip. Un coup d'oeil à l'écran apprit au scientifique que la recherche d'empreinte était terminée...

résultat d'empreintes : Inconnu

Adresse: 56, Diamond street (une carte)
Boite de nuit : Strip-Caffe
Patron : Patrick Tompson

Cameron sepencha, avide, sur le moniteur de l'ordinateur. Ses yeux lançaient des éclairs, mais il faut aussitôt déçu, quand il lut "no match" sur l'écran; Le fichier n'avait rien trouvé. Il pressa quand même la combinaison de touche impression de façon à avoir une copie papier de l'empreinte. Ca pouvait toujours servir. L'imprimante laser émit un petit "grrr" puis charga une feuille. Celle-ci travrsa la machine doucement et ressortit portant une belle empreinte bien nette. Cameron la posa sur la table près de l'imprimante, puis saisit l'autre feuille de papier, encore chaude.

"56 Diamond street, Strip-caffe, patron: Patrick Tompon... Je me demande bien ce que les autres vont en penser."

Entre temps les yeux des autres scientifiques s'étaient tourné vers lui. en effet, parler tout seul n'était pas la meilleur chose pour passer inaperçut. Il les ignora.
Rien que le nom de la boite de nuit ne lui inspirait pas confiance. Il sentait bien que quelque chose de pas très Catholique se déroulait là-bas. Il jeta un coup d'oeil à la carte, sur lquelle le numéro 56 de diamond street était encerclée de rouge. en effet; ce n'était pas du tout le genre de quartier ou le scientifique trainait.
il fronça les sourcils. Le sort de cette jeune femme ne lui plaisait pas, et il aimait encore moins ce qui se tramait probablement sur son lieu de travail; si bien sûr c'était là qu'elle travaillait; A Miami, le mot "boite de nuit" était très connoté, et d'une manière très négative.
Quoi qu'il en soit, il fallait qu'il voit quelqu'un, il ne pouvait pas prendre la décision seul d'aller au Strip Coffe sans que personne ne soit au courant. Il se posa donc sur une chaise, et se prit la tête entre les mains. Il lui fallait cinq minutes de rflexion....

Sally était rentrée au laboratoire. Elle avait été assaillie par 5 agents qui voulaient lui faire signer plein de paperasse : La localisation exacte du lieu du crime, l'autorisation de nettoyer pour une entreprise de nettoyage de scène de crime et plein d'autres trucs qu'elle n'avait, pour la plus part, pas lu. D’ailleurs, les trois-quarts des papiers qu’elle signait dans la journée était juste des confirmations de présences autres choses qui ne servaient strictement à rien juste à occupé le petit patron de la police à Miami-Dade tranquillement assis dans son fauteuil qui n’a rien d’autre à faire que lire des rapports parce qu’il a déjà lu toute sa bibliothèque. Elle aperçue Emmy et Eric entrain d'analyser plusieurs choses, l'enquête d'Horatio certainement. Cette Emmy ne lui inspirait rien en fait. Déjà, c’était une adolescente, quelle horreur. Les enfants, beurk. Elle n’en voulait pas, en aucun cas elle n’en aurait... Puis elle arriva en salle des ordinateurs dans laquelle se trouvait Cameron, recroquevillé sur sa chaise. Elle s'approcha prudemment.

"Ca va ? Il y a quelque chose qui ne va pas ?"

Sa première enquête, c'est vrai que ça pouvait être assez fatiguant toute cette pression, agir sans cesse dans l'urgence, ne jamais faire attendre, courir partout… Ca ne laissait pas beaucoup de temps pour les loisirs. On pouvait être appelé n’importe où, n’importe quand. Il fallait aimer l’aventure et il fallait aimer les autres, sinon, on arrivait pas à tenir le coup…

Cameron entedais des pas dans l'escalier. Vu la force avec laquelle les chaussures martleaient le sol, la personne savait où elle alait, et elle allait apparamant vers lui. Les pas s'interrompent réguliérement, probablement pour signer des papiers... Puis tout d'un coup, quelqu'un surgit dans la pièce. Cameron n'eut même pas besoin d'ouvrir les yeux pour comprendre de qui il s'agissait. Alors il resta là, les yeuix mi-clos, avachit sur sa chaise, conscient qu'il ne devait pas faire très bonne impression comme ça, mais il s'en fichait. Il attendit que sa collègue prenne la parole puis, ce-ci fait, il attendit encore deux bonnes minutes avant d'ouvrir les yeux, de se redresser et de répondre, sourire aux lèvres:

"Technique de repos léger. On récupère en cinq minutes environ une ou deux heures de sommeil. C'est assez pratique dans ce genre de boulot."

Puis il se leva et saisit la feuille, encore tiède, sur laquelle on pouvait distinguer une empreinte digitale, et une inscription, en caractère majuscule et en rouge: NO MATCH. Il tendit la feuille à Sally, et reprit la parole:

"Ca c'est la mauvaise nouvelle, mon empreinte sur la clenche, négative. Va faloir trouver un autre moyen d'identifer le propriétaire, et ce moyen, je l'ai peut-être".

Il prit donc l'autre feuille, celle avec le plan de Miami et un petit cercle entourant le 56 diamont street. Il y jeta un bref coup d'oeil avant de la remettre dans les mains du chef d'équipe.

"Strip-caffe, patron Tompson. Je sais pas si c'est le genre d'endroit que tu aimes fréquenter, mais là, je pense qu'on devrait aller y faire un tour. Ca me plait pas du tout ça, pas du tout..."

Cameron rengea sa chaise et ferma sa séssion, en attendant le erdict de sa collègue. Il saisit son stylo et se mit à faire quelques figures de penspinning avec, sous les yeux ébahits des scientifiques du fond. Apparemment, ils trouvaient ça honteux de faire autre chose que d'écrire avec un stylo. Qu'importe, ces hommes n'avaient rien d'enviable, on dirait dessinges emballés dans du papier célopahne, contraint à un régime de salade, avec interdiction de prendre des cacahuètes pour l'apéro.

La femme observa l’empreintes. A ce propos, il faudrait qu’elle demande à Alexx d’envoyer les empreintes de la victime à Cameron qu’il les comparent. Elle observa l’adresse, ça lui disait quelque chose. En effet, depuis la maison de la victime, il n’y avait que 15minutes de trajets pour s’y rendre. Un petit et tranquille trajet. Par contre, le titre de cet endroit n’inspirait rien de bon comme le suggérait Cameron. Généralement ce genre d’endroit ne fournit pas que des boissons et une table pour s’asseoir. Elle attendait aussi le rapport d’autopsie qui lui indiquerait beaucoup plus de choses. Mais un carambolage ce matin avait alourdie le travail des légistes. Tant pis, ils feraient sans pour l’instant.

" Bon, on y va. Tu prends ton arme de service. Je vais demander à Adel de nous accompagner au cas ou il faut l’arrêter. Sors déjà la voiture. "

Puis elle s’en alla vers les bureaux de la police (Adel est un lieutenant présent dans quelques épisodes des experts, saison 1 et 2 surtout) elle jeta un regard circulaire à la pièce et vit de loin la petite femme métisse au fort caractère. Elle s’approcha, lui exposa l’affaire et lui demanda de la suivre, jusqu’au parking.

>>> Strip Caffe

Cameron sourrit. Enfin y allait avoir un peu d'action, pas de grosse baston bien sur, mais un peu plus de mouvement. Le scientifique Enfila son manteau, et saisit la clef qui trainait sur le bureau. Il la fit sauter joyeusement dans sa main et dit:

"C'est moi qui conduit alors"

Et en avant! C'est partit mon quiqui! En voiture Simone! Direction un bistrot ou son rince l'oeil en même temps que le goulot. Cameron allait enfin renconatrait les pervers de Miami! Rien de réjouissant pour un flic normal, mais pour Cameron, s'était tout, il voulait absolument savoir qui résidait où, pour savoir parfaitement sur quoi il tomberait en passant par là. Il laissa donc passer sa collègue et la suivit dans les couloirs. Puis ilos se séprèrent, Cameron prit la direction du parking.

[on va direct au caffé. Je créer le topic dans les endroits chauds de Miami.]

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