Mission 1 Interrogatoire d'Airon Scholer

Anna passa par la salle d'interrogatoire, plus précisément dans la petite salle sombre derrière le miroir s'en tin, que tout le monde s'avait être une vitre sur une autre pièce depuis que la télévision et le cinéma en avait fait mainte fois mention.
Elle ne connaissait pas le dossier, il fallait qu'elle parle à l'une des enquêteur, mais en attendent il était utile qu'elle puisse voire la personne détenu, de voire comment elle ce comportait.
Le tic nerveux que ce dernier avait était intéressent, cela prouvait sur forme d'inquiétude de la part de ce dernier.

Ryan était repassé quelques minutes à son casier avant de venir pour l'interrogatoire d'Airon Scholer. Mystérieux homme...Ryan se demandait comment un homme avec une telle responsabilité, celle de médecin, et un tel parcours professionnel pouvait en arriver là. Il arriva près de la salle et y rencontra une femme, il ne la connaissait pas. Il la salua puis observa quelques minutes Airon.

*Bizarre ce type...je me demande ce qui lui ait passé par la tête...*

Il semblait stressé et anxieux. Il n'était pas calme, il regardait partout, par la fenêtre, les murs, la vitre. Il bougeait les bras, se grattait le crane : tout semblait qu'il n'était pas vraiment à sa place. C'est à se demander pourquoi il avait fait cela. Ryan s'assit légèrement sur la table, histoire d'y prendre appuis pour se reposer un peu. Il n'était pas vraiment fatigué mais un peu de repos n'était pas de refus ! Il sourit tout seul puis sortit son PDA. Il attendait ses collègues.


HJ : au CSI de Miami je ne pense pas qu'il y ait de salle d'interrogatoire avec une vitre sans teint. C'est plutot bien éclairé avec le soleil et décontracté, à la vue de tous. Enfin après tout je ne suis pa sûr.

Anna acceuillit l'homme qui venait d'entrer avec un large sourir, elle prit place à coté de lui, appuiller sur la table et lui tendit la main en pour ce présent;

"Bonjours,..., Anna Felton. Je viens d'arriver. Aussi bien à ce poste que dans cette ville."

HJ; Il n'y a pas de raison pour qu'il n'y en est pas, après tout ça fait un peut partie de la panoplit de la police

Jusque là Ryan avait laissé Emmy conduire l'interrogatoire d'Airon Scholer. Bien sûr personne ne pensait que Nina avait fait une erreur professionnelle, c'était presque imposible ! Mais Airon semblait dire la vérité : et si il avait raison ? On ne pourrait pas le garder plus longtemps ou même si on pouvait il serait vite sorti d'affaires par son avocat. Comment est que Nina aurait pu mentir à tous ? Ce n'était pas son genre, peut être avit elle oublié, mais on oublie pas comme ça. Ryan souffla puis décida de reprendre la main :

"Ecoutez Airon : même si ce n'était pas un agent de police, ce n'est pas une raison de l'agresser avec une barre de fer ! Comme l'a précisé ma collègue, les circonstances font que vous êtes suspect dans l'une de nos enquêtes. Alors soit vous parlez, soit on vous coffre, et si c'est nous qui découvrons quelque chose, croyez moi vous serez dans un sacré pétrin !"

Ryan était déterminé, il n'acceptait qu'on rejetait la faute sur sa collègue. C'est sur Airon allait craquer, il suffisait de quelques mots bien placé pour ce. Le protocole voulait que l'on prenne les empreintes et un échantillon d'ADN du suspect. Ryan prit sa malette posée à terre et la déposa sur la table. Il se leva, l'ouvrit et commenca les prélèvements. La surprise fut que le suspect accepta sans dire un mot.

"Pour l'instant vous êtes en garde à vue pour agression d'un agent des forces de l'ordre. Un agent répondra à toutes vos questions"


HJ : Je sais pas si je peux aller plus loin.

Nina était rentrée. Elle avait passé la moitié de son trajet secouée dans la voiture. Elle était exténuée et cette fin de journée était très fatiguante. De plus, ses migraines étaient revenues et tout s'embuait, devenait confus dans son esprit. Elle perdit même un peu la notion du temps. Et pourtant elle se souvint tout juste qu'il fallait se rendre en salle d'interrogatoire pour interroger le type à cause duquel elle avait mal à cet instant. Elle fouilla dans son sac pour prendre des médicaments: elle n'en avait plus. Elle serra le poing de rage et se rendit à l'étage supérieur.

Elle arriva d'un pas empressé, la mine agacée et las. Elle observa l'homme dans la vitrine, c'était bien lui qui l'avait frappé. Elle compris à la mine de ses co-équipiers que quelque chose n'allait pas. Elle toqua donc à la porte vitrée et attendit que l'un d'eux sortes et lui fasse un petit résumé. Elle soupira et entama des excuses d'une voix éteinte :

"Désolée du retard, j'ai été un peu longue. Alors qu'à-t-il dit pour le moment ?"

Elle passa rapidement une main sur sa tempe en fermant les yeux avant de les rouvrire, prête à entendre la réponse.

*Je vous jure que si un me demande si j'ai mal au crâne...*

[HJ: Je suis pas sûre qu'il y ait cette fameuse vitre noire, mais c'est pas grave ]

Nina attendait très impatiemment sa réponse. Et en même temps son esprit était troublé. Elle ne parvenait à se souvenir des évènements exactes. Elle s'apprêtait à enchaîner sur son petit interrogatoire mais elle fut interromput : Horatio entra dans la salle et d'une voix assez chaleureuse, il lui demanda de venir. Nina aquiesça d'un signe de tête obéissant et se leva de sa chaise. Elle lança un dernier regard noir à l'accusé et sortit de façon très calme.

Elle avait bien noté le ton étrangement chaleureux d'Horatio, mais elle savait que ce n'était que pour faire bonne figure. Elle fronça les sourcils lorsqu'il s'adressa à elle d'une voix froide. Elle sentait que ça n'allait pas du tout, que ça partirait bientôt de travers. Elle tenta de se rappeller encore mais ce mal de crâne, elle n'y parvenait pas. Elle murmura donc d'une voix navrée mais pour autant la plus dure possible :

"Je ne sais plus. Je n'arrive pas à m'en rappeller."

Elle savait pertinemen que l'heure était assez grave. Si il s'avérait qu'elle ne se soit pas annoncée, leur petit prisonnier pourrait bientôt repartir libre comme l'air. Pourtant elle devait se rapeller. Elle fouilla encore dans sa mémoire, inlassablement. Elle ne voyait pas de passage où elle s'annonçait comme agent. Contrainte de se rendre à l'évidence, elle murmura, sans oser regarder son supérieur dans les yeux :

"Je ne suis pas sûre, mais je crois que non. Peut être que oui ! J'en sais rien, Horatio."

Elle savait déjà que le ciel allait lui tomber sur la tête, avec la colère d'Horatio. Elle tenta donc de trouver quelques arguments, cette fois en le regardant dans les yeux, même si ils étaient vaints et sûrement assez faibles face à la gravité de la situation :

"Mais dans tous les cas il a agressé quelqu'un. Et je suis certaine que ma plaque était bien en vue. Il peut toujours être inculpé pour coups et blessures ! Non ?"

Elle baissa encore une fois les yeux, sachant très bien que c'était peine perdue. Elle avait vraiment honte. Avoir oublié un tel détail, comme une simple petite débutante. C'était sa première vraie erreur depuis ses débuts. Sûrement le feu de l'action qui l'avait un peu arrêté, bloqué quelque part. Elle était du coup vraiment très mal à l'aise. C'est à demi-voix qu'elle osa à peine demander :

"L'enquête m'est retiré n'est-ce pas ?"