Arrivée : [PV Horatio]

La jeune fille avez eu du mal à se réveiller, elle avait composée une musique de 30minutes au piano durant la nuit. Les 30minutes étaient composées d'environ un quarts d'heure pour chaque minute à fin de trouver le rythme juste, une continuité dans la mélodie par rapport à la précédente exct... Elle se leva rapidement, s'habilla avec des habits simples et pas trop voyants, un pull noire, un jean et mit son collier celte, seul souvenir de son père. Elle observa quelques minutes le frigo avant de constater qu'il n'y avait plus rien. Elle sortit, prit un café et un croissant dans de petits magasins. Elle les finit devant le siège du CSI. Le soleil perçait déjà à travers les immeubles derrière elle. Comme un vampire, elle se précipita à l'intérieur. Après 6 vérifications d'identités, elle put enfin accéder au bureau du directeur.

"entrez..."

Lui dit une voix lui indiquant que l'homme était très occupé. Emmy entra et découvrit le directeur, grand et massif. Il releva la tête et sourit. Il l'invita à s'asseoir sur un fauteuil. Elle tendit sa feuille de stage :

STAGE AU CSI DE MIAMI

SPECIALISATION : PROFILER, CRYPTOLOGIE

CHEF DE STAGE : HORATIO CAINE

L’homme lit ce qui figurait sur le papier. Pour lui, il dit.

« bon, je vais appeler Horatio, que je lui explique… »

Mais la jeune fille le coupa rapidement.

« je le connais, je voudrais lui dire moi même… «

Le directeur considéra la jeune fille et hocha la tête. Il se leva, Emmy fit de même, ils se serrèrent la main.

« bienvenue au CSI de Miami, en espérant que le stage se prolonge jusqu’à une offre d’emploie. »

Emmy hocha la tête et sortit. Elle traversa le couloir et tomba sur les ensembles de bi tacles disposées par équipe. Elle pouvait prendre le bureau d’un enquêteur partit en vacance le temps qu’ils lui trouve une petite place. Elle se leva et observa les noms écrits sur les bureaux. Elle s’arrêta sur le présentoir avec marqué « Horatio Caine »

Horatio était déjà là depuis la veille. Comme souvent dans cette section de la police, le luxe de rentrer chez soi et retrouver un bon lit douillet ne lui avait pas été permis. Encore, si cela avait été pour examiner des preuves ou réfléchir à l'action d'un individu lambda transformé tout à coup en suspect pour une affaire de meurtre sordide, cela ne l'aurait pas franchement dérangé. L'art de faire une nuit blanche faisiat partie, mlaheureusement, des qualités requises par la polices scientifiques, Qualités non officielles bien sur. Parmis ces qualités résidaient donc les nuits blanches, le détachement aux victimes, la capacité de regarder un cadavre sans tourner de l'oeil et bien sur le plus important, le calme. Parce que losrqu'on n'est pas calme et que l'n se retrouve devant un meurtrier, l'arme en main, le coup part vite...
Mais bon, ce n'était pas pour expérimenter une de ces fameuses qualité qu'il était présent, ni pour faire preuve d'un courage héroique, découvrir la cachette d'un meurtrier et voler au secours d'une jeune fille avant qu'il ne la viole et ne repeigne les murs de s achambre avec de speintagrammes dessinés à la peinture de son sang, non... C'était uniquement pour remplir la montagne de paperasse qui s'entassiat sur son bureau depuis des mois. Une paperass parfaitement ennuyeuse, encore bien plus dangereuse pour le moral qu'un serial killer en vadrouille... Il avait bien tenté de repousser l'échéance de cette torture encore quelques semaines, mais cela devenait particulièrement impoli. Et puis, ce qui ets fait n'est plus à faire.
Une phrase qu'il se répétait depuis bientot deux heures tandis qu'il signait des papiers sans interet quans on frappa à la porte de son bureau. Il pouss aun soupir soulagé. La personne qui venait de frapper était un envoyé du ciel, et si Horatio découvrait par hasard qu'il s'agissait d'un monstrueux tueur en série, il se promettait de lui trouver des corconstances atténuantes.
Il retira immédiatemnet cette mauvaise pensée de son esprit avant que quelqu'un ne la perçoive et se leva pour aller ouvrir la porte.
Il découvrit sa nièce avec un haussement de sourcil étonné. Voilà donc le visage de son ange gardien. Il murmura de sa voix parfaitement neutre

"Emmy... Je ne m'attendais pas à te voir ici. Tu viens m'avouer un meurtre?"

La jeune fille sourit sous la remarque de son oncle. Il avait l'art de trouver une phrases hors-contexte pour les retrouvailles aprés de longues durées d'absences. Il avait toujours les mots pour fire réagir les gens. Elle tenait dans sa main droite, cachée dans son dos, sa feuille de stage. Ele ne pouvait savoir qu'elle allez être la réaction de son oncle. l avait toujurs était d'un naturel calme et, presque : bien évidement, totalement dénué de sentiments sur son visage. Il avait l'art de caché ses émotions. En même temps, ce genre de particularité devait être utile pendant ses enquêtes. Il faudrait qu'elle prenne exemple sur lui.

"non, pas encore..."

Repondit-elle avec un sourire amusé. Une fois, pas deux, maintenant q'elle avait fait des études de juridiction elle saait ce qu'elle risquait, jusque là elle n'avait manifesté aucun signe de sa maladie à ses professeurs ou à n'importe qui ne la conaissant pas. Elle tendit la feuille l'homme en gardantle même sourire. Fierement. Au pire, si il n'était pas d'accord, elle n'aurait qu'à changer d'équipe...

Il fut étonemment soulagé qu'elle n'avait pas encore commis de meurtre. Bon, c'était déjà ça, ne put il s'empêcher de penser.
Il rpit la feuille qu'elle lui tendait avec un froncement de sourcil à la fois contrarié et intrigué.

Encore des papiers... Continue comme ça et c'ets mon meurter qu'il te faudra avouer.

Il l'invita cependant à entrer, ne voulant pa sla laissre plantée là ppendant qu'il réactivait péniblement ses neurones pour somprnedre le contenu de cette feuille. Il s'assit derrière sa table en un geste ent et solennel et examina le papier, les sorucils froncés, mais cetet fois ci simplement à cause de sa difficulté à lire. Il se faisiat vieux. Le slettres éateinst toutes floues.
Passée sa sensation de lassitude et de fatigue prolongée, il parvint à lire cette satanée feuille. Son visage ne changea pas ^tandis que son esprit se mit à bouilloner. Sa nièce, en stage avec lui. Elle. Il l'aimait sincèrement mais avec cette maladie, c en'était plus de l'imprudence, c'était du suicide. Il posa la feuille dans un profond soupir et se massa les yeux. Elle avait tout de même réussi à berner tous ses professurs, Cette fille était étonante d'habileté et d'intelligence.
Il finit par plonger dans son regard un oeuil à la foix grave et brillant de fierté. Si il avait eut de slunettes de soleil, il les aurait enlevé pour engager cette conversation au combien importante.

Avant tout, je veux que tu saches que je suis particulièremnet fier de toi. Cette place n'est pas donnée à tout le monde et l'obtenir demande beaucoup de volonté. Seulement, je pense que tu te rends compte que j'ai certaines réticences.

Il ajouta avec un sourire en coin doux et parfaitement calme.

Je ne refuserais pour rien au monde de travailler avec ma nièce préférée, mais ce sera bien plus pénible pour toi avec moi qu'avec un autre.

Elle hocha la tête. S phrase commençait bien... Mais bien évidement, il fallait qu'elle s'attende à ce genre de phrase. Elle soupira. Son oncle savait ce qui se passait lorsqu'elle ne prenait pas ses médicaments, s il apprenait qu'elle vivait seule à présent et q'elle ne prenait plus ses médicaments... Il la tuerais ou la ferais interner. Elle passerait le restant de son existenc dans une chambre blanche, des médecins en blancs viendraient lui apporter sur un plateau des pillules rouges, roses, bleus... De toutes le teintes de l'arc en ciel en fait... Il fallait qu'elle fasse de efforts à présent, pour que son oncle soit encore plus fier d'elle et pour qu'elle prouve aux autres qu'elle n'était pas dingue et malade. Qu'elle jette sa validation de stage et son test de personnalité totalemen clean à la tête de son père, qui avait eu peur... Biensur, se réveilleren face d'un couteau n'était pas agréable, mais il aurait due faire autre chose que de quitter sa mère. Rien que cette pensée provoqua chez la jeune fille une sorte de pic de stress, ses mains commençaient à trembler mais elle les contracta et les serra une dans autre. Il fallait qu'elle arrive à leur prouver qu'elle était responsable.
La dernière phrase de son oncle lui fit chaud au cœur et l'encouragea encore plus dans sa conviction de se surpasser pour ce boulot, il fallait qu'elle soit exemplaire. Elle plongea ses yeux dans ceux d'Horatio comme pou encrer profondément sa promesse, pour qu'elle reste et surtout pour qu'elle la tienne, elle se souviendrait de ses yeux qui lui diront 'bosse dur, la récompense est au bout'. Avec un sourire rassuré.

"ne t'inquiète pas mon oncle, si je suis sortit de mes études c'est que j’étais prête, et je n'espère aucun traitement de faveur ni d'avantage. Je veux pouvoir réussir sans aides, et même mieux, en ayant eu un travaille plus dur que les autres, ma validation de stage vaudra plus..."

Il observa son attitude en silence. Ses mains tremblaient, son regard paraissait déterminé. Prenait elle encore des médicaments? Il ne l'avait jamais vu si réveillée depuis qu'elle avait ce traitement.
Sa logique imparable en conclut qu'elle ne le prenait plus. Ce n'était d'ailleurs pas très étonant. Mais cette fois ci, il n'était pas face à un suspect x ou y- . Il était face à sa nièce. Un être qu'il aimait profondemment. Et dans ce genre de confrontation, la logique n'était pas évidente. Il préfèrait croire qu'il se trompait et lui laisser une chance. Quit à devoir l'envoyer en hopital psychiatrque si il y avait le oindre problème. Il ne voulait pas annoncer à cette fille que sa maladie allait lui gacher sa vie et sa carrière. Il songeait à ce qu'il aurait ressenti si il n'avait pas pu faire ce métier. Il aurait probablement fini alcoolique au fond d'un fossé. Il ne lui souhaitait pas ça.
Cependant, il ne pouvait s'empêcher de penser aux conscéquences. Si jamais a tournait mal, ça pouvait aller bien plu loin qu'un petit accident de travail. Et si elle tuait quelqu'un...
Non. Il la surveilerait Il lui éviterait ça. Il fallait lui laissre sa chance à cette petite. Lui prouver que la vie vallait la peine. Tout le monde méritait bien ça. Aussi hocha t'il la tête en silence.

Eh bien tu commences tout de suite. Première leçon, comment remplir des dossiers pour que son oncle puisse décompresser un peu!

Il prit un tas de feuille et le sprésenta devant elle avant de lui expliquer rapidemnet ce qu'elle était censée écrire avant de le laisser signer. Il observait ses réactions avec un invisible sourire. Elle n'allait pas être contente.

Il faut bienc ommencer par quelque chose.

La jeune fille sourit, malgré le fait qu'elle pensait qu'il avait vu que ses mains tremblaient, elle ne montra rien. Elle savait que son oncle allait la surveiller de prés, de très prés. Elle n’était pas vraiment à l’aise devant lui, après ce qui s’était passé il y a quelques années. Mais pour elle, s’était finit, elle pouvait se contrôler, aux moins se contrôler pour ne pas tuer ou blesser quelqu’un. Ses mains se calmèrent un peu. Il le fallait bien. Elle observa Horatio, il voulait détendre un peu l’atmosphère certainement… En tous cas, il ne fallait pas que l’histoire dont ils étaient au courant, au sujet de sa maladie, ne filtre jusqu’au directeur. Il ne fallait en aucun cas qu’il le sache, ça voudrait dire qu’elle serait peut être écartée, renvoyée et envoyée en asile même… Il fallait qu’elle reste, qu’elle tienne, en cas de cous dur, elle s’enfermerait dans une pièce sûre, péterait son câble, rangerait tout et ressortirait comme si de rien n’était… Mouais, dur dur lorsqu’on sait que son oncle va la surveiller et ne pas la lâcher d’une semelle. A la moindre faille, il ne va pas pouvoir s’empécher de le mettre au compte de ce qui s’était passé il y a quelques années, ça allait venir un jour ou l’autre, elle aurait le temps de se préparait à répliquer dans ce cas. Elle pouffa de rire.

« il va falloir que tu me paye pour ça, je te signal que je suis pas en stage pour remplir ta paperasse… Bon allez, je sais que tu te fais vieux et sénile, je vais alléger tes souffrances, ça ne te coûtera qu’une glace au vendeur du Parc Milton… »

Commence par remplir ces papiers.

Il en répondit pas à la provocation de la jeune fille quant à son age avancé et se contenta de se plonger lui même dans sa paperasse, trop occupé à s'imaginer payer une glace à sa nièce pour penser à une quelconque réplique cinglante à ce manque de respect. Bien sur, le fait de payer une glace ne lui posait en soi aucun problème. Il faisiat partie du corps d'élite de la police et son salaire était donc largement assez conscéquent pour acheter deux glaces en ville. Surtout si il cherchait le glacier le moins cher du quartier...
Non, ce qui le gênait était plus l'idée de devoir passer au moins une heure avec sa nièce, le temps d'aller acheter cette maudite glace et de la savourer dans un parc grouillant d'enfants et de mères de familles, et donc tenir une conversation qui ne se base pas sur son métier ou sur un sujet cadavérique pendant tout ce laps de temps. Horatio, bien que doté d'extraordinaires qualités, n'éltait pas siciable. Il ne parlait qu'à ses collègues, aux familles des victimes ou aux suspects potentiels et les sujets engagés lors de ces conversation ne tournaient par franchement autour du café qu'il avait bu le matin même en sortant de son lit, ni sur le nouveau shampoing douche qu'il venait d'acheter...

Il ne s'imaginait donc pas sans difficulté devoir parler à sa nièce. Il avait beau chercher, il ne savait pas quoi lui dire. Et puis, ils finiraient forcemment par dériver autour de sa santé mentale, étant donné que ce sujet occupait l'esprit de l'homme depuis qu'Emmy avait franchi le seuil de cette pièce. Ce qui signifiait donc que sa nièce venait d'avoir la pire idée qu'elle aiat jamais eut après l'agression de son père. Cette simple et innoffesnive glace venbait de se transformer en Evrest dans l'esprit d'Horatio, et la perspective de l'ascension qui l'attentait à la fin de sa journée venait d'occuper chaque partie de son cerveau.

Devant l’enthousiasme explosif de son oncle, la jeune fille baissa la tête, déçue. Apparemment passer un moment avec elle ne lui plaisait pas vraiment. C’était la seule personne de sa famille encore vivante qui ne l’avait pas fuit. Peut être qu'il allait bientôt le faire... Elle lit les papiers qu’Horatio lui avait donné, il ne s’agissait que de documents administratifs où on devait simplement marqué qu’on avait bien lue le document… Elle remplie machinalement le document et soupira finalement. Elle pensait faire un début prometteur, passer des bons moments avec son oncle et avoir la paix tranquille. Elle serait montée petit à petit dans la hiérarchie de la police scientifique, elle aurait eu des missions palpitantes, pleines d'adrénalines, de déceptions et de soulagement à la fin. Mais à la place de ce rêve de sérénité son oncle avait limite peur d’elle et d’être seul avec elle. Il semblerait aussi qu'il ne soit pas rassuré qu'elle soit là. Biensur, avec sa tentative de meurtre sur son père, on ne pouvait pas dire que sa place dans la police était bien trouvée... Elle n’avait tentée qu’une seule fois de tuer quelqu’un et elle n’avait depuis jamais essayer de commettre un meurtre. Ca pouvait être enourageant. Ce soir, le programme serait facile : alcool, alcool et alcool devant un bon film de Hitchcock comme Le Meurtre Etait Presque Parfait ou Les Oiseaux et tout se passerait bien, elle oublierait tout et elle passerait une bonne soirée en s'imaginant se faire dévorer par des centaines d'oiseaux carnivore pendant qu'un homme bedonnant passerait de long en large dnas son appartement. Biensur la fin de sa nuit dans les toilettes à se vider le ventre dans une douleur abominable n’allait pas être très réjouissante mais c’était le prix à payer pour se former dans la tête une nouvelle vie… Finalement, elle posa la question qui lui brûlait les lèvres.

« pourquoi tu ne veux pas me parler ? Tu as peur de quoi ? »

Elle savait que ça allait être très dur de faire parler son oncle, il n’était absolument pas bavard et surtout pas à propos de soi… Après la mort de Raymond, encore plus qu’avant. Mais là, il n’aurait aucun moyen de s’échapper…

Il fut légèrement surpris de cettee question et releva lentement les yeux de sa montagne de paperasse pour la regarder, un léger haussement de sourcil signifiant le plus grand étonnemnet qui soit...
Puis il finit par sourire et répondit d'une voix égale.

Jeune fille, ne pensez vous pas qu'il ets prétentieux de votre part de penser que vous me faites peur?

Il eut un petit rire. Non c'était trop. Lui qui avait arrêté des poseurs de bombes, des terroristes, des pédophiles, des tueurs en série tous plus fous les uns que les autres, lui, il aurait du avoir peur de sa nièce, l'un des membres de sa famille qu'il aimait le plus. Si elle pensait ça, c'était qu'en plus d'être schizophrène, elle était paranoiaque. Mais bon, vu la capacité de cette fille à s'irriter à la moindre réplique incorrecte, il allait devoir s'expliquer plsu que d'habitude quant à son comportement fermé et silencieux. Il pouss aun profond soupir. Emmy lui donnait vraiment du fil à retordre. Il finit par anoncer d'une voix dont l'hésitation flagrante ne lui ressmeblait absolument pas.

Ce qui me fait peur... C'est de devoir retomber dans le monde réel en t'offrant cette glace. Je n'ai pas agi en être humain normal depuis longtemps tu sais

Emmy sourit, c’était moins pire que ce qu’elle pensait. Il étaient en fait tout les deux des asociaux. Un bel exemple de la petite parti de créature de l’ombre n’ayant pas du tout le mêmes habitudes que le commun des mortels, et surtout… Qui ont peur de manger des glaces… En tous cas, la dernière phrase de son oncle était une manifestation flagrante de son mal de vivre qu’il avait depuis la mort de Raymond. Bien que la mère d’Emmy n’ai pas était très proche du défunt frère, Horatio, lui, le côtoyait souvent et l’aimait vraiment beaucoup. En plus, Emmy avait pu remarquer les quelques fois où une petite réunion de famille invitait Raymond, sa femme, son fils et Horatio, que ce dernier n’était pas insensible au charme de la belle latino. Bref, tout ce retourner contre son oncle. Elle se promit d’essayer de trouver une machine à remonter le temps ou un filtre d’amour pour son oncle, qu’il retrouve un peu de joie de vivre… Elle hocha la tête et lança.

« Misanthrope… En tous cas, il faudra bien que tu affronte les humains et le soleil du jour un moment ou à un autre… Mais si tu veux continuer à faire ton vampire, c’est comme tu veux… »

Elle avait dit ça avec un sourire au lèvre, pour continuer dans le second degrés, héritage de famille peut être…

Il lui rendit un sourire parfaitement amusé, bien que cette réflexion ne l'amusait absolument pas et répondit sur ce même ton léger.

Je te promets d'y penser. Bien que ce conseil me semble décalé venant de toi.

Sur ce, il retourna à ses formalités pour ne pas avoir à affronter le regard de sa nièce. En réalité, l'observation de la jeune fille lui pinçait légèrement le coeur et une petite boule invisible et indetectable pour les gens de l'extérieur s'était formée dans sa gorge. Il ne se souvenait même plus depuis combien de temps il n'avait pas parlé à un interlocuteur venan d'un autre cercle que celui de la police scientifique ou des personnes impliquées dans les meurtres. Et cette révélation qui n'était un scoop pour personne d'autre lui fit l'effet d'une giffle. Il s'était plongé à corps perdu dans son travail pour reprendre une vie normale et c'était ce même travail qui le privait de toute sociabilisation. Emmy avait raison, il était comme elle.
Mais il n'était pas misanthrope. Il aimait l'humanité, en particulier les enfants. Il aimait observer un peu les autres vivre leur vie et s'émouvait souvent de ce qu'ils appelaient les banalités du quotidien. Seulement, il s'était résolu à exclure ce quotidien de sa vie. Pas par haine de l'humanité, non... Peut être tout simplement par maladresse

Elle hocha la tête. En effet, elle était l’exemple type de l’individus associable, toujours le nez tourné vers ses baskets, paranoïaque à souhait dans la rue, la nuit. Elle prenait la plus part des gens qu’elle ne connaissait pas pour des tueurs ou des violeurs. Elle n’avait pas d’amis de son age et son stage allait lui prendre énormément de temps à présent, en bref, l’isolement total. Pire que lorsqu’elle voyageait avec ses parents, les complexes réservés aux ambassadeurs regorgés d’enfants en effet, les ambassadeurs étaient comme des lapins en fait… Seulement ces enfants ne parlaient presque pas d’autres langues que celle maternelle, elle se retrouvait donc devant des Roumains, Yougoslaves et d’autres pays dont l’existence la dépassait totalement à cet age. Les paroles étaient alors superflu et ne communiquaient qu’avec les gestes et les expressions de visage, ils se faisaient comprendre comme ils le pouvaient et développés quelques fois leurs propres codes… Et débarqué en Amérique ou le contact physique et les gestes ne sont plus pris en compte, ne plus regarder personne, juste parler, ça l’énerver ; ça la gênée. Comme si parler c’était se mettre à nue un peu… Le départ de sa mère s’était aussi fait dans le silence, un ‘je vais au course’ et ses achats qui n’en finissent plus. Biensur elle avait pensée à la thèse du meurtre, de l’enlèvement et tout les pires scénarios… Mais après avoir pénétré son réseau informatique, et accédé à sa boite mail, elle vit qu’elle correspondait depuis quelques mois avec son ancien mari, le père d’Emmy. Elle prévoyait de partir, elle pensait qu’elle arriverait à s’en sortir seule… Mouais, maintenant elle bavait à chaque fois qu’elle passait devant des devantures de magasins de nourritures de toute sorte, elle en était même venu à faire un immense détour pour ne pas passer devant la suite de restaurant qui était en haut de la rue du CSI… Elle venait de finir de remplir une grosse pile de feuille, elle en fit un tas et souris à son oncle.

« Finis… »

Puis ses yeux tombèrent sur l’immense pile de paperasse situées à côté d’elle…

« … Tu a été absent pendant 5 ans ? »

Il suivit son regard et observa la pile, un léger sourire étirant le coin de se slèvres. Puis, oh miracle, un rire grave et calme s'échappa de sa gorge. Un jour à marquer dans les anales, Il réondit sur un ton doux et amusé.

Disons qu'en m'engageant dans la police, j'ai oublié de cocher l'option: "remplir les papiers adminnistratifs." Tu sais ce qu'on dit, personne n'est parfait.

Il soupira et prit se slunettes de soleil sur son burea,u qu'il accrocha à la poche de sa chemise et finit par se relever. Depuis combien de temps étaient ils là? Une semaine?
Il regarda sa montre. 20 minutes...=.=
Bon, la notion du temps ets quelque chose de plutot particulier. Pourquoi s'obsitnait il à passer à une vitesse d'escargot quand on avait besoin qu'il passe vite. Pour une fois, il n'avait qu'une envie: que l'un de se scollaborateurs franchisse le seuil de la porte en annonçant un meurtre. Funeste, crule et inhumain, certes, maisn vital à la survie du lieutenant dans ce genre de situations.
Il sourit à Emmy et dit d'une voix calme, espèrant que l'excuse qu'il allait lui donner pour cesser la torture ne se ferait pa strop remarquer.

Tu veux que je te fasse visiter l'étage?

La jeune fille sourit. Il fallait bien que son oncle soit nul en quelque chose dans son travaille, hé ben… C’était la paperasse… En même temps, comment pouvait-il poursuivre et mettre hors d’état de nuire les plus dangereux psychopathes si il devait chaque soir remplir tout ses papiers inutiles qui répétaient toujours la même chose ? Ces papiers devaient être le pire de ses cauchemars, la chose qu’il redoutait le plus avant les criminels en se rendant à son bureau. Pauvre homme, être malmené pas ce tas de feuilles… A croire que les ordinateurs n’existaient pas. La jeune fille répondit à la proposition de son oncle en se levant. Elle rajusta sa veste. Sa main passa sur sa poche et elle sentit des fines feuilles carrées. Des photos. Ces deux polaroids, elle les gardaient tout le temps sur elle. Des photos qui représentaient une jeune fille du lycée en face de l’école de police scientifique. Emmy connaissait un garçon avec qui elle aimait bien parlé, ce dernier avait demandé un stage à Los Angeles et l’avait eu, ils étaient allé sur la plage pour fêter ça avec quelques amis à lui. Et parmi les amis en question, se trouvait cette fille. Japonaise et terriblement jolie, elle sentait le bonheur et avait une énergie presque inépuisable. Son sourire s’adoucit à la pensé de cette après midi et fit le salut militaire à Horatio.

« affirmatif lieutenant. »

Il sourit à son salut et répondit d'une voix calme.

repos soldat... Allez viens je vais te montrer notre base secrète...

Il prit un air mystérieux et enfila sa veste à son tour, avant de la faire galament sortir du bureau. il le ferma à clé: Bien qu'il ne s'entassait là dedans que des paperasses administrative, ennuyeuse, totzalement dépourvues d'interet et encore moins dangereuses, il n'aimait pa sle laisser ouvert. Des fois qu'un dangreux terroriste puisse trouver interessant les factures financières faites pour le compte du labo. En plus, en y réfléchissant bien, il y avait tout demême des dossiers d'enquête la dedans, et ça pouvait attirer plus d'un paparazzi avide de sensations fortes... Mais bon, les enquêtes c'est comme tout, la pratique est ennivrante mais la théorie ets franchement assomante.
Il sortit de ses réflexiosn hautement intellectuelles pour faire visiter l'étage à Emmy, décrivant chaque bureau avec une précision toute particulière, allant même jusqu'à lui conter l'historique du bureau de la secrétaire de l'étage...
Secrétaire qui n'était d'ailleurs même pas fichue de remplir es maudits papiers...=.=

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