Emmy soupira, elle détestait faire des excuse. Mais il était vrai que la veille elle n’avait pas été des plus corrects. Ce stress du premier jour de travaille, celui causait par la possible découverte d’Horatio à propos de sa situation actuelle, le jeune homme se trouvait au mauvais endroit au mauvais moment. Et si elle voulait évoluer dans une atmosphère de travaille agréable et propice à la réflexion, il n’y avait pas de place à la dispute et à la vengeance. Ensuite, il faudrait bien se partager les informations importantes et réfléchir de manière collective pour ne laisser personne de coter. Elle prit une inspiration et commença :
« Tout d’abord, je m’excuse pour mon attitude de tout à l’heure, je suis vraiment désolée… Ensuite, j’ai trouvé que notre victime se rendait à toutes les réunions, touts les meetings, concerts, dédicaces et autres rassemblements ont été validés. Par contre, je n’ai pas eu accès à la liste des membres et à leurs informations personnelles. Je ne suis que stagiaire, je ne peux pas les demander… Alors, j’ai pensé que tu pourrais le faire… »
Ensuite il n’y aurait qu’à faxer les résultats et à regarder toutes les personnes ayant put être en contact avec la victime à n’importe laquelle des réunions. Emmy savait déjà à quoi s’attendre : une bonne ribambelle d’homme de 40 passés sur au moins la moitié de la liste de membres… C’était presque normal au japon alors qu’en Amérique, le principe n’était pas encore acquis au sein de la société.