Vote CONCOURS 1

Concurrent 1 :



Eric arriva à l'entrepot du Dock n°14 où était prévu l'échange. Il y avait déjà deux voitures et 4 personnes qui attendaient. Eric sortit de sa voiture et leva les mains sans que les membres du gang ne lui dise quoi que ce soit, à croire qu'il en avait l'habitude. Il se fit fouiller sans dire un seul mot puis se fit accompagner dans l'entrepot dans le "bureau du chef".

- Eric ! Quel bon vent t'amène à moi ? dit il tranquillement assis, les pieds sur le bureau.
- Je n'ai pas de temps à perdre Paulo.
- Patience Eric...moi j'ai tout mon temps ! Je veux l'argent d'abord.
Eric posa une petite sacoche en cuir noir sur le bureau et se recula d'un pas.
- Uniquement en coupure de 20$ comme tu me l'as demandé.
- Je sais je sais...mais j'ai oublié de te dire...ça ne me suffit pas !
- Comment ça ! Tu crois que tu vas t'en sortir comme ça ! s'énerva t-il
- Calme toi Eric. J'ai juste besoin...que...que tu fasses en sorte que Raul Hiban soit innocenté pour manque de preuves.
- Jamais ! J'ai rempli ma part du marché alors rend moi ma famille...maintenant !
- D'accord...tiens voilà la clé du cadenas. Ils sont enfermés dans la salle des machines du bateau bleu. Fais vite il part dans 10 minutes ! Il lui jetta la clé qu'Eric rattrapa. Il se tourna pour partir, non sans jeter un regard de haine à Paulo Attends un peu ! Si Raul n'est pas innocenté la semaine prochaine, tous les membres de ta famille seront tués...et tu sais que je tiens mes promesses.

Eric partit en courant vers le bateau bleu à quai qui allait bientot partir. Il monta à bord et couru vers la salle des machines. Il y avait bien une grille mais personne dans la grande salle. Il balanca la clé par terre et se retourna quand il entendit un ricanement derrière lui.

- Je me disais bien que tu ne lachais pas aussi vite Paulo.
- Ce n'est pas mon genre Eric. Je savais que tu n'allais pas faire ce que je demandai. De toutes façons je déteste Raul ! C'est bien fait pour lui qu'il se soit fait arrêter. Tu te rapelles de tout cousin...
- Je ne me rappelle de rien...?
- Ne joue pas les innocents Eric...tu sais ton cousin qui a vendu de la drogue pour rembourser ses dettes...Et bien ce même cousin me doit encore des dettes...et beaucoup !
- Je ne suis plus en contact avec lui.
- Ce n'est pas grave...je suis passé chez lui hier...il n'était pas là mais il y avait sa femme. Je l'ai enlevée aussi.
- Qu'est ce que tu veux ?
- Et bien tu vas devoir faire passer des colis.
- Non.
- Et bien tu vas devoir changer d'avis sinon....sinon ils vont tous mourir par ta faute.
- ...combien de colis ?
- Une trentaine...en 1 semaine...
- Impossible...mes collègues vont s'inquièter pour moi et puis ma voiture est suivie par satellite.
- Ne t'inquiète pas...tu auras une voiture de fonction...mais par contre pas de prime de risque !
- Si j'accepte...ils sont libres maintenant ?
- Bien sur que non...tu viendras les chercher après . Mais ne t'inquiète pas, ils seront traités comme des rois chez moi ! On y retourne

L'entrepot, qui il y a quelques minutes était vide, était maintenant le theatre d'une organisation sans faille qu'était le trafic de drogue. Il y avait une dizaine de voitures, et le triple de personnes. Chacun avait sa place, on se croirait dans un centre de tri. Les colis étaient chargés dans les voitures qui disparaissaient presque aussitot. . . Ils montèrent au bureau pour discuter. Une bonne demi heure plus tard, Eric sortit du bureau, très énervé. Il claqua la porte, descendit les escaliers et traversa l'entrepot qui maintenant était vide, sans bruits. Il partit en trombe avec sa voiture...

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Concurrent 2 :



C’était un de ces petits soirs où le ciel de Miami avait revêtît une énorme couche de nuages épais menaçant la côte et la tranquillité de ses citoyens. Un trou dans le tapis céleste laissait le soleil s’enfonçait sous les flots sanglant. Des arabesques de sang coulaient vers l’horizon flou. La mère préparée son repas, les enfants faisaient leurs devoirs et le père de famille lisait tranquillement le journal dans le salon. Mais pour ce qui était de l’officier Delko, cette soirée n’avait rien de douce et de tranquille. Sans même chercher à se protéger de la trombe d’eau qui s’écrasait sur son crâne, il attendait. Le plafond céleste lui tombait sur sa tête mais il avait les yeux rivés sur la grande porte en métal. Le grand bâtiment, imposant, et surtout, lugubre semblait engloutir l’homme avec des dents de métal. Il était venu en avance et attendait ici depuis environs 1 demi heure qui paraissait avoir duré 1mois. Le visage ensanglanté par les reflets de l’eau, il ne bougeait pas d’un centimètre comme les zombis dans Resident Evil. Finalement la porte s’ouvrit et il entra directement sans même s’annoncer. L’intérieur était aussi glauque que l’apparence extérieur. Ca devait certainement être une ancienne scierie. D’impressionnantes machines rouillées par le temps rendaient le lieux atrocement sinistre. Comme si de grands monstres métalliques dormaient là. De part et d’autres des surfaces métalliques des taches rouges s’étaient formées à cause de trous dans les mûrs de l’entrepôt. Les monstres paraissaient avoir été poignardés. Un groupe d’hommes cagoulés étaient debout dans l’obscurité. De corpulences plus ou moins variables, eux non plus ne bougeaient pas. Finalement, un des plus grands et plus costauds s’adressa à Eric.

« Alors ? Les 200 000 $ ? »

Eric se contenta de lancer le sac de sport devant ses pieds. Un homme de main du gros balèze s’avança et sortit de l’obscurité, il portait une couette sous sa cagoule. Il s’agenouilla et ouvrit le sac. En même temps que le bruit du zipper, le « cliquetis » d’une arme résonna dans l’oreille droite de l’officier. L’homme agenouillé se releva finalement et fit un signe de tête à son patron. L’arme disparut de la tempe du jeune homme et le balèze s’avança vers Eric. Il le considéra quelques minutes. Les trous dans les murs laissait passer un filet de lumière rouge qui faisait des sortes de taches sur le sol, et rendait l’ambiance encore plus tendue. Finalement, d’un geste rapide, le boss fit signe à ses hommes. Deux d’entre eux ouvrirent une porte. La bande de criminel s’en alla en prenant le sac. Ils laissèrent Eric face à cette porte ouverte. Tel un film d’horreur, l’obscurité semblait opaque et aucune forme ne se distinguait à l’intérieur de la pièce. Avec un pas hésitant, l’homme s’approcha de la porte. Aucun bruit de respiration, aucun signe de formes de vies. A part la collision des gouttes d’eaux sur la taule, rien ne semblait bouger. Même Eric avait retenu sa respiration. Il avança sa main. Un contact froid la lui prit soudainement. Une main l’avait saisit.

« Eric ! »

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Concurrent 3 :



C’était l’heure H, cela faisait maintenant 24h que des malfaiteurs avaient prit en otages la sœur, et la mère d’Eric… Delko se rendait au rendez-vous fixer par les mafieux, l’endroit était un vieille entrepôt désaffecté, prêt des doc. Toute la police de Miami s’était mobilisée discrètement, Eric était équipé de micro, et la valise qui contenait la rançon était équipée d’un émetteur GPS. Delko coupa le contact, et arrêta les phares de sa voiture. L’endroit était très sombre, malgré le levé de soleil.. Il y avait juste une petite lampe au dessus de la porte principal de l’entrepôt… Eric sorta de la voiture, et prenna la malette en alu, qui contenait les 50'000 dollars, tout en refermant la voiture derrière lui. Il marcha quelques metre, à découvert, puis il s’arrêta devant la porte, il frappa.. TOC TOC TOC… puis il attendit
« Vous êtes venu seul et sans armes ? «

« Oui, comme convenu »… Après vérification, le ravisseur ouvra la porte… l’homme était assez grand et vêtu de noir, avec une cagoule…

« Tenez, voila l’argent, le compte y est… Eric regarda de tous les cotés mais ne trouva ni sa sœur, ni sa mère.. « Vous avez ce que vous voulez, ou est ma famille ? «

« Du calme, ils se trouvent dans la pièce à coté…. Suivez moi »
Eric suivit l’homme à travers l’entrepôt.. Arriver devant une porte verrouiller avec un cadenas, il s’arrêta, et ouvra ce dernier avec une clé qu’il sorti de sa poche... la pièce n’était pas éclairé, et il n’y avait aucun bruit… Eric trouvait cela de plus en plus suspect..
« Rester la, je vais les cherchées.. « le ravisseur, sorti un couteau et entra dans la pièce noir.. Eric resta sur le pas de porte et attenta, tout en observa les faits et gestes du suspect.. quand tout a coup il entendit :

« Laissé moi sortir, je vous en supplie, ne nous faites pas de mal.. « Eric accoura, il avait reconnu la voix de sa sœur Marisole… l’homme venait de coupé les liens qui les tenaient attaché à une poutre en acier…le ravisseur laissa les deux dames se relevé, et se metta à l’écart…il avait l’argent, et c’était l’essentiel.

« Ne vous inquiéter pas, je suis la, c’est fini maintenant.. « Fit Delko à sa famille, avec une voix apaisante…« Eric, enfin, te voila, c’est terrible, j’ai cru que nous allions mourir… « S’écria Madame Delko… pendant les retrouvailles, le ravisseur quitta discrètement l’entrepôt avec la valise à la main.… Quand il ouvra la porte principal, il ne s’attendait pas a avoir un comité d’accueil. « Police de Miami, lâcher votre arme, et mains en l’air, vous êtes cerné … « Hurlait un policier, avec un porte-voix… tout l’entrepôt était encerclé par des patrouilles de police…

Eric, Marisole, ainsi que leur maman sortirent rapidement de l’entrepôt, le ravisseur, était déjà arrêté, et placer dans une voiture de patrouille… Le soleil commençait à briller sur le port de Miami…
Bon Travail Eric… conclus son chef, Horatio Caine, qui venait à leur rencontre, lunette de soleil à la main.. ..

fin des votes : mercredi 19