La bave du crapaud ...

[le retour de la bave du crapaud, lol ! Elle me semble plus longue que la première ... évitez de me la supprimé celle-ci !]

La nuit envellopait de ses large bras noir la ville qui sombra dans l'obscurité. Mais à Miami, tout est décalé, elle domine le jour comme la nuit. Les boîte accueil des fêtard et autres personnes plus ou moins douteux, les laissant boire jusqu'à s'abandoner lamentablement à leurs délires psychotiques. L'alcool embrume leurs yeux fatigués d'avoir trop bougés sur les pistes, tous oublient leurs soucis.

Dans l'ombre d'une impasse, Alexander Fichtner scruptait patiemment la rue. De ses yeux d'un bleu pâle pénétrant, Alexander fixait patiemment les prostitués qui tentait de trouver un client pour la nuit, afin de subsistuer de leurs argents. C'est un métier bien sombre pour ces immigrées souvent ou pauvres femmes qui n'ont d'autre choix que de suivre leurs proxénètes. Battues et exploitées, elles ont toujours eut une importance capital auprès d'Alex. C'est avec elles qu'il a passés les plus marquantes parties de sa vie, ces femmes qui sont dans l'impasse elles aussi, bien que la sortie soit plus difficile à trouver.

C'est alors qu'un homme déboulla dans la rue en chantonnant gaiment, ivre au possible, il avançait en zigzag. S'appuyant contre un banc, il siffla une pute qui s'approcha. Ils discutèrent mais Alex ne saisit pas le sens de ses mots. visiblement l'homme n'avait pas assez d'argent pour s'offrir une séance de plaisir charnel. Elle le repoussa mais cela lui déplut. Alex le fixa froidement tandis qu'il saisit le poignet de la femme, la tenant fermement. Elle se débattit mais ne reçue que des coups en réponse. Aggrippé à elle, il recula en lui arrachant son bracelet. La prostitué tomba au sol, le regardant, pitoyable mais celui-ci ne s'attarda pas. Il reprit sa marche dans la rue, chancelant sous l'alcool.

Alex n'avait pas bougé quand il s'était attaqué à la femme. Sa tutrice lui disait toujours de ne jamais se mêler des affaires qui concernait son travail. Pourtant, il n'était pa rare qu'il se glisse dans on lit pour la réconforter de ses larmes et essuyer le sang qui coulaient sur ses joues. Ils auraient tellement voulut faire toujours plus pour elle mais arraché à cette dernière, il ne la revit plus jamais. Le souvenir de son visage n'en reste pas moins gravé dans sa mémoire.

Quand l'homme ivre s'éloiga de sa victime, Alex sortit de l'impasse. Il le suivit pendant quelques mêtre puis se décida à traverser la rue en sa direction. La rue était assez déserte, les voitures qi passaient se stoppait uniquement pour se satisfaire auprès des femmes qui racollaient. Alex tendit vers l'aggresseur une de ses mains gantées et l'intercepta.

-Excusez-moi, auriez-vous l'heure-
-J'ai pas de montre, connard !-

Il cracha sur le visage d'Alex qui se contenta de femrer les yeux pour qu'ils ne soient pas touché par la salive répugnante. L'haleine d'alcool s'engoufrèrent dans ses narines qui frissonnèrent de dégouts. Lentement ses yeux se rouvrirent, et sa main gauche gantée essuya le crachat. Quand à l'aggresseur, ricanant bêtement en fixant sa seconde victime d'un air supérieur, recula dans la ruelle derirère lui. Tout avait été calculé ... Alex ne l'avait pas intercépté au hasard mais de manière à le mettre dos à la ruelle pour l'y faire reculer, sa réaction éxécrable de vainqueur le court dans cette petite rue sombre où personnes ne va la nuit. Alex resta plantée dans l'embranchement des deux rues, droit comme un i, le regardant s'éloigner. Il regarda à droite, puis à gauche, vérifia qu'aucune personne n'était là puis s'engoufra finalement à la suite de son aggresseur.

Celui-ci titubait toujours aussi misérablement. Alex l'intercepta à nouveau, ses yeux tout d'abord froid avaient laissé place à une colère noire des plus glacials, mais une colère invisible, intérieur. Les rôles s'inversèrent. L'aggresseur devint la victime de sa propre victime. D'un geste vif, ses phalange plongèrent sur le visage de l'homme ivre qui tomba au sol, la joue ensanglantée. Alex sortit un manche dont la lame du couteau se déplia dans un schintement silencieux. Sa main gauche saisit le col du malheureux, la salive du crachat s'y déposa. Son autre main brandit l'arme dont la lame se planta sur le coté de la gorge. Un entaille profonde et sans aucune hésitation. Le sang dégoulinait sur le côté, une mort lente mais certaine se prépara. Alex lacha l'homme encore vivant qui, déséspérément tenta de ramper pour fuit. Il n'y gagna qu'un violent coup de pied au visage. Alex recula dans l'ombre et l'observa mourrir, baignant dans son sang, son visage expiant peu à peu la vie. Bientot le corps mort trônait au milieu de son sang qu'il gardait égoistement en lui.

Quand il fut mort, Alex se glissa hors de la ruelle mais de l'autres côté, suivant un chemin différent. Aucune trace de sang sur lui, le couteau dans la poche, il n'avait rien de suspect derrière cet air serein ...

[...]

Dois-je remettre la partie avec le clochard et la découverte du corps où elle a été enregistrée ?