bizutage technique du premier jour

Cameron était devant les portes de l'ascenceur qu'il venait juste d'appeller. Une charmant secraitaire lui avait indiqué l'étage ou il devait se rendre pour son premier jour. Le coeur battant à pleine puissance, ses yeux cillabrs à une allure étrangement rapide, le nouveau venu ne pouvait ma¨triser son stress, qu'il avait pourtant réussi à cacher depuis tant d'années. Après la disparition de sa mère, le monde semblait se relever autour de lui, c'était comme si tout Miami se dressait sur son passage, pour le saluer. Son petit sac à dos, remplit de toutes les affires dont il aurait besoin tressautait au rythme des battement de son coeur.

Dling!

Les portes s'ouvrirent, Cameron entra. Il appuya sur un bouton pour indiquer sa destination, et l'ascenceur se mit en marche.
Son premier jour s'annonçit bien. La journée était belle, le soleil luisait, Cameron était en pleine forme. Il respira profondément et se cala dans un coin.

Plom!

Le scientifique s'écroula. La machine s'était violament arrêtée.

" Je me disais bien que tout était trop parfait...."

Tout était bloqué. Cameron pressa le bouton de secours. Un petit dringggggg sonor rententit, puis plus rien.
Il ne restait plus quà attendre les techniciens. Mais ce n'était pas son genre. Il tenta alors de glisser ses doigts entre les deux portes et de les ouvrir par la force.

"C'est qu'elles sont résistantes ces petites bêtes!"

Impossible de sortir. Mais le nouveau venu n'allait pas s'avouer vaincu si facilement...

Message admin : c'est un peu trop facile d'augmenter la taille de l'écriture pour faire plus de lignes^^
Message membre: je suis parfaitement capable de faire plus 5 lignes, mais je trouve que ce n'est pas très lisible quand c'est trop petit

La journée de la jeune femme avait plutôt bien démarrer, hormis le fait qu’une montagne de papier l’attendait sur son bureau. Quand elle était rentré dans cette pièce, tout de suite son sourire jovial s’était effacé.
Elle s’était rapidement installé, pour commencer à signer les quelques papiers qu’elle avait. Bien sur, c’était à peine si elle lisait en diagonal, le matin 8H00 c’était plutôt difficile d’un coté. Puis, elle descendit les escaliers à la hâte pour donner les papiers. Quand soudain, une MERVEILLEUSE idée vint la réveiller. D’après ce que disait la secrétaire au téléphone, un nouveau était coincé dans l’ascenseur. Il avait de la chance ! Non ? Pourquoi cela ne lui était pas arrivé à elle ? Et puis, des canons masculins seraient venu la sortir de l’ascenseur. En fait, jamais rien d’amusant ne lui était arrivé dans la vie. Mari afficha un large sourire tout en se penchant vers la secrétaire :

« Je peux appeler les techniciens ? »

Mari avait annoncé cela d’un air enjoué. Amusée par la situation du nouveau ? Peut être. Enfin, elle était nouvelle aussi, depuis maintenant quelques semaines. Elle s’était plutôt bien intégré sur le lieu de travail, elle connaissait un peu tout le monde. D’un coté, elle s’était un peu forcé à apprendre le nom et le prénom de presque tous les membres du personnel. Ainsi que leurs métiers. La sercrétaire resta un instant silencieux, regardant l’expert de haut en bas avant d’aquiecer. Bah quoi ? Elle demandait juste de les prévenir rapidement, ce n’était pas gentil de faire ce geste ? Mari retourna rapidement dans son bureau pour appeler la direction technique, qui était apparemment déjà prévenu. Ah, ce nouveau avait osé touché sur le bouton maudit ! … Il n’était pas drôle.
Mari poussa un léger soupire.
Elle remit son téléphone à sa place initiale puis une idée lui vint. Pourquoi pas attendre le nouveau devant l’ascenseur ? Déjà, en prime, elle aurait les techniciens en pleine effort, et, elle pourrait accueillir le nouveau comme il se doit ! A cette pensée, un large sourire s’étendit à nouveau sur ses lèvres. Oh, le travail. Il ne fallait pas qu’elle l’oublie son travail. Et puis, ce n’était pas comme si elle ne travaillait pas. Elle aidait un nouveau collège à sortir d’un ascenseur bloqué… N’était elle pas une âme généreuse ?
Très vite, elle rejoingnit, les « techniciens » qui étaient soigneusement en train de faire leur boulot ; Celui de sortir l’homme de la cabine. Premier jour, et déjà bloquer.

« Salut les hommes ! »

Dit elle d’un air complètement stupide. Se faufilant discrètement derrière eux pour voir ce qu’ils faisaient…

C'est bien connu, les techniciens sont tous des abrutits... Cameron les entendait bien faire leur boulot, mais le bruit venait de l'étage en dessous. Cela faisait bien 20 minutes qu'il esseyait d'ouvrir cette maudite porte.

Crac!!!!

Puis un crissement aigü. Les portes cédaient, doucement, mais elle cédait. Manque de chance pour lui, l'ascenceur s'était arrêtait en plein milieu du plafond. En dessous, les techniciens beuglaient comme des bêtes, ils avaient bien vu la porte s'ouvrir et criait au nouveau de rester ou il était et de ne pas tout gacher. Mais il en avait ràs le bol. Cela faisait 10 mn que ces crétins n'arrivaient pas à le sortir de là, c'était bien suffisant. Il sehissa sur l'étage supérieur. Sa forte crarrure lui posant tout de même quelques difficultés. Une fois sur le palier, enfin sortit de cette cage, il entreprit de descendre à l'étage inférieur dire 3 mots aux techniciens.

Ils étaient 6, 6 pour un misérable ascenceur et ils n'étaient pas foutu de lui débloquer la porte.

Son regard s'arrêta sur une jeune femme qui était avec eux, visiblement, elle était morte de rire. Lui aussi eut envie de rire, pour une première journée, c'en était une bonne!
Il s'aprocha de l'inconnue et la reconnu, il l'avait déja vu, sur le tableau d'affichage en bas, mais il était incapable de se souvenir de son nom ou de sa spécialité.

"Salut"

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Le regard de la jeune femme fixait avec impatiente l’ascenseur qui ne s’ouvrait toujours pas. Même si l’attente n’était pas son fort, elle s’amusait plutôt bien. Parfois, certains techniciens levaient les yeux vers elle pour la contempler, la questionnant du regard. Mari leur faisait un « coucou » de la main, pour marquer d’avantage sa présence, comme s’ils ne l’avaient pas remarquer. Etait-elle l’intrus dans la scène ? Sûrement, mais, elle s’en fichait. Intrus où pas, Mari était là, et elle y resterait. Non mais, ce couloir n’avait pas été interdit aux experts de l’étage, elle ne se gênerait pas de jouer la squatteuse, même si s’était pour des heures et des heures.
Mari passa un moment sa fine main sur ses lèvres. Non, elle avait du travail. Si le sauvetage du nouveau devait durer plus d’une demi-heure, elle devrait retourner à son bureau. D’un coté, elle n’avait pas de mission ce jour là. Néanmoins, elle avait quelques preuves à analyser pour faire avancer certaines enquêtes. La jolie femme d’origine nipponne secoua la tête, mais, son regard se reporta à nouveau sur l’ascenseur quand un crissement l’alerta. Ils en avaient finis. Tant mieux. Elle pourrait voir ce nouveau. Mais elle se rendit bien compte que les techniciens étaient en difficulté.
L’ascenseur posait autant de problème que ça ? Oh les pauvres minous. Mari aurait bien aimé les aider, mais c’était pour elle impossible. Pour ne pas dire qu’elle n’avait pas une force physique très impressionnante. Toutefois, cela ne signifiait pas qu’elle ne savait point se défendre. Au contraire, elle était plutôt douée avec une arme. A feu, ou blanche. Mais, ce n’était que pour la légitime défense.
Soudain, des pas, puis une voix s’éleva non loin d’elle. Elle se retourna joyeusement, son éternel sourire béat accrocher à son visage d’ange. D’après le dossier qu’elle avait reçu, c’était bien le nouveau qui devait arrivé aujourd’hui. Néanmoins, Mari n’avait que lu brièvement le dossier, puisque la veille, elle avait un autre dossier dix fois plus important à consulter. Pas que le nouveau ne l’intéresser pas, il avait l’air sympa. Mais bon, un collège en plus, un collège en moins. Ouh là, là ! Mari pensait méchant. Elle se tapa légèrement la tête avec la paume de sa main, il fallait qu’elle se punisse pour avoir dit une chose aussi cruelle.
Mais bien vite, elle se tourna vers le nouveau, son nom… ? Euh… Elle n’en savait rien…
Mari lui rendit son salut, puis s’exclama de sa voix éloquente et sympathique :

« Bien le bonjour et la bienvenue chez nous ! »

Après ces quelques mots bien trop « chaleureux » pour une simple collège, elle tendit sa main pour empoigner celle de son interlocuteur puis poursuivit d’une même voix :

« Mari Overstreet. Experte en Balistique depuis deux semaines et demi en ces lieux. Je travaille aussi à Miami Sud pour d’autres enquêtes ! Mais cela ne veut pas dire que je ne peux pas vous apportez mon aide ! Je suis d’ailleurs ravie d’être l’une des premières à vous accueillir ! Excusez moi… Votre nom et votre expertise ? »

Mari était l’ami de tout le monde, et tout le monde était ses amis. C’était aussi facile que cela à comprendre. Elle ne pouvait pas s’empêcher d’être proche de tout le monde. D’ailleurs, cela posé parfois de nombreux problèmes dans son travail. Toutefois, il fallait prendre en compte son travail acharné et son dévouement pour toutes les enquêtes dont elle était chargée. Il lui arrivait de prendre quelques pauses. Mais elle savait réguler son emploi du temps.

Cameron était impressionné par la femme qui se tenait devant lui. Une chose avait attiré son regard: son sourir. Personne ne lui avait jamais sourit comme ça, mis à par sa mère mais cela faisait bien des années. Il faut dire qu'il n'étais pas très engagant pour les reltions sociales: souvent il restait seul dans son coin, bien tranquil. Mais il est bon de connaitre ses collègues, aussi était-il content d'avoir cette jeune femme sous les yeux. Il se passa une main dans ses cheuveux lisses, pour une fois, et jetta un oeil vers les techniciens. Ceux-ci le regardait comme si il était un extra-terrestre ressanblant à un bisounours qui prétendait être venu pour les manger. Il leur adressa un bref signe de main qui voulait tout dire: continuez votre boulot.

Il reportat son regard vers la jeune femme, qui s'était présentée pendant se temps.

"Cameron Kale, expert en incendie-explosion"

Comme ci tout le laboratoire voulait apporté plus de style à sa démarche, il entendit quelqu'un crié:

"test au C4, bouchez vous les oreils!"

Baam!

Il regarda la jeune femme, se retenant avec difficultés d'xploser de rire.

"Je cherche le bureau de M Caine, vous pouvez me l'indiquer?"

Il baissa légérement la tête en relevant les yeux, et adressa un clin d'oeil à sa collègue.

Cet homme, ce petit nouveau, il se nommait donc Cameron Kale. Elle aimait bien son prénom ! Elle inclina légèrement la tête pour montrer qu'elle était ravis de faire sa connaissance. Elle porta un moment son regard sur les techniciens qui, semblait-il, regarder Cameron d'un air vraiment bizarre. Mari se pencha, un peu trop même qu'elle faillit se casser la figure... toute seule... Elle voulait juste voir s'il n'y avait pas quelques choses sur le visage de cet qui faisait que les techniciens le regarder bizarre. Mais elle ne remarqua rien de... comme qui dirait, étranger sur le visage de Cameron. Un nouveau sourire éclaira son joli visage d'ange, puis elle rétorqua de sa voix dansante :

"Ah ! Monsieur Caine aussi est expert en explosion !"

Elle mit sa main sur sa joue pour s'exclamait d'une voix toujours aussi "conne" :

"Pleins d'hommes forts dans un si grand monde."

Soudain, au loin, une voix s'écria : "test au C4, bouchez vous les oreils!" C'est ce qu'elle fit sans attendre. Elle n'avait aucune envi d'avoir l'oreille qui bourdonne pendant toute la journée, et encore moins faire "hein" toutes les cinq minutes parce qu'elle ne comprenait pas ce que disait son interlocuteur. Puis l'homme lui posa une question existencielle, ou était donc le bureau de Melle Emmy... Ah... Dans le couloir sûrement. Il y avait certainement un écriteau sur sa porte, mais, Emmy avait un bureau ?

"Bah, surement dans le couloir !"

La jeune femme avait l'air assez décalée... Cameron la trouvait un peu bizzare... Il ne savait pas pourquoi mais il la trouvait vraiment étrange...
enfin peut lui importait, il était temps d'allait voir M Caine.

"Très bien, merci, je vais chercher un peu. Au plaisir"

Il lui lança un dernier regard et tourna les talons. Puis il se souvint de la présence des techniciens. Il se retourna vers eux, qui étaient toujours en train de bricoler sur l'ascensseur.

"Embêtant ces bestioles pas vrai?"

Bien content de lui, il s'éloigna en jetant des regards sur les portes, pour essayer de trouver le bureau de ce M Caine.... Caine... On pourrait croire qu'ils ont tout deux les mêmes ancêtres...

"2e test ça va péter!"

Baam!!!!

Cameron soupira, il ne comprenait toujours pas pourquoi les scientifiques se bouchaient les oreilles eu moindre petit boum...

Mari ne servirait t-elle a rien pour l'acceuil de cet homme ? D'un coté, elle n'avait jamais été très doué pour ça, et il fallait aussi qu'elle prenne en compte le fait qu'elle ait du travail. Si elle ne s'y mettait pas bien vite, elle risquait d'avoir des problèmes. Et, la jolie jeune femme n'avait aucune envie de perdre son boulot. Cela ne se voyait pas, mais elle y tenait presque plus que sa propre vie. Mari contempla M.Cane de haut en bas, en prenant le soin de lui sourire à nouveau. Enfin bon, lui aussi avait du travail. Enfin, il allait commencé son travail bientôt plutôt. Quand il rétorqua qu'il allait rejoindre Mlle O'Connor, Mari affirma vivement d'un signe de tête. Mais pourquoi n'allait-il pas aller voir directement M.Caine ? C'était un peu lui le grand chef ici non ? Enfin bon...
Mari fit un signe de la main en s'exclamant :

"D'accord, bey bey !"

Elle tourna les talons, prenant le soin de faire un adieu aux techniciens qui regardaient toujours d'un air un peu bizarre. Maintenant, il fallait qu'elle retourne à son bureau, prendre les messages sur son répondeur. Cet homme, elle le reverrait certainement pour une affaire vue qu'il travaillait maintenant dans le même endroit qu'elle. Il avait l'air un peu perplexe de rencontrer une personne comme elle. Le prenait-il pour une fille complètement jeter ? D'abord, Mari n'était pas jeter, elle était juste très expressive. Cela pouvait parfois des problèmes pour le travail, mais c'était surtout au début de la carrière, maintenant, elle avait pris l'habitude de prendre un ton neutre quand elle interrogeait un éventuel suspect. Mari avait débuté, et elle avait aquis de l'expérience, comme tout bon expert ici présent.
Sur le chemin de son bureau, elle croisa quelques collèges, à lesquels elle adressa un de ces jolies sourires pleines de bonne foi puis elle finit par pousser la porte de son bureau pour pénétrer dans cette pièce des plus ennuyeuses... Mari préférait de loin se trouver sur une scène de crime... D'ailleurs en parlant d'enquête, elle en avait plusieurs en cours, et elle n'avait pas de temps à perdre sur la réception d'appel ou de papiers...