Devant le bâtiment

Sally attendait devant le bâtiment. Rhaa cette équipe de nuit… Elle lui en avait fait voir une belle. Ces connaissances en psychologie ne lui avait limite pas servi pour cet entretient avec ce pédophile… Il lui a juste dit qu’il adorait Freud et Juliette dans Roméo et Juliette… Il s’était vendu, Juliette n’ayant que 13ans dans la pièce et Freud avançant comme théorie que les enfants avaient une sexualité… Il ne fallait pas pister toutes les personnes lisant Shakespeare et Freud mais l’assemblage qu’avait fait le suspect était explicite. Maltraité par son père étant petit, pas étonnant. Il avait eu un désir de pouvoir sur quelqu’un d’autre. Séduction, trop dur. Chez ce genre de types les enfants sont les premières cibles, faciles… Sally remercia mille fois l’Etat de Floride d’avoir gardé la peine de mort pour pouvoir épurer cette planète de ce genre d’ordure. Il lui fallait une distraction. Ce soir, elle sentait que ça n’allait pas être facile. L’homme ne parlait apparemment pas beaucoup… Elle allait le faire parler. Biensur, elle revêtait sa robe noire, sobre, beaucoup plus confortable que le tailleur de tout à l’heure. Cheveux lâchés et maquillage léger. Rien qui puisse l’effrayé. Et au pire, à défaut de sortir avec lui, elle pouvait être son ami. Même si pour l’instant cette possibilité n’était pas dans ses projets.

Horatio revenait d'une journée difficile. D'abord cette montagne de paperasse qu'il n'était d'ailleurs toujours pas parvenu à surmonter, ensuite cette meeeeeeeeeeeeerveilleuse entrevue avec les suspects de la boite, et pour finir l'agression de Nina qu'ils avaient du stoper une fois sortis de ce maudit clup de propédophiles surexités... Autant dire tout de sduite qu'il n'était plus d'humeur à conter fleurette avec une inconnue. Elle ferait la conversation et il se contenterait d''hocher la tête d'un air compréhensif. Mais n'étant pas un macho invétéré, il ne ferait pas seulement semblant de l'écouter, il le ferait vraiment. Et ainsi, il ne passerait pas sa soirée a contelmpler une soupe française ou un tapas mexicain en se demanant quelle soirée il aurait pu passer n'importe ou sauf là ou il se trouvait prisonnier.
Il arriva donc dans le hall, rassénéré à l'idée de laisser Sally faire le travail, et fut légèrement surpris de la voir vêtue d'une robe noir à la fois élégante et relachée, ses cheveux soyeux encadrant un visage sans imperfection, lui donnant un air à la fois classieux et décontracté. Bon d'accord, pour une femme comme celle l, il ferait sans doute l'effort de dégoiser quelques phrases.
Pour l'occasion, lui s'était evêtu de noir, un ensemble composé de son éternelle veste et pantalon de smoking, MAIS noir, pour changer des couleurs horriblement voyantes qu'il mettait à longueur de journée... =.=. Eh oui, le noir c'est classe... Et distant. Aucune intimité dans le noir...Il se présenta face à elle, un sourire calme, élégant et amusé étirant les traits de son visage.

Vous êtes très élégante.
Je dois m'en remettre àvous pour ce dnner, j'ai bien peur de ne pas savoir ou votre fameux restaurant se trouve

Sally sourit au lieutenant. Il n’avait pas l’air vraiment en forme pour ce dîner. Elle le remettrait en état d’une manière ou d’une autre et si il ne voulait pas faire d’effort, elle ferait tout le travaille… C’était une femme après tout, épilation, règles, maquillage, talons hauts, c’était pas l’effort qui lui faisait peur. Noir ? He bien, il y avait eu des communications télépathiques dans l’air. Sally n’avait pensée qu’à sa tenue, ensuite, elle improviserait sur place. Elle avait une petite idée pour faire déraper les soirée professionnelle en soirée intime… Quelque chose qui rendait tout les hommes chauds comme des braises. Mais bon, cet homme là, il était pas comme les autres et elle voyait d’ici sa réaction. L’après midi avait aussi était crevante pour elle donc il ferait quand même un effort pendant la soirée, si il y avait un après, c’était son affaire si il le voulait. Elle sourit.

« He bien, Cendrillon qui accompagne le Prince dans sa citrouille, ca a le mérite d’être original… Ma voiture est là bas… »

Une voiture grise métallisée, une voiture plutôt féminine. Son plan était en marche, le dessert se ferait dans son appartement certainement. Et il y aurait du chocolat, de la chantilly ou de la crème caramel si il le voulait, pour Sally, c’était nature, l’orange, elle aimait bien aussi… Elle ouvrit la portière passager.

« Mon prince ? »

Elle se plaça côté conducteur ensuite, et démarra pour le Tigre Rosso…