Nom : Overstreet
Prénom : Mari
Date de naissance : 16/05/82
Lieu de résidence : sixième étage, appartement 603. Miami.
Appartement ou maison : Appartement
Famille : Son père est médecin légiste à Miami. Il habite un autre appartement d’un autre immeuble parce que Mari a décidé qu’ils ne devaient plus ce voir.
Caractère [3 lignes minimum] : Jeune femme très positive, elle a du mal à être triste. Toutefois, cela ne fait pas d’elle pour autant une personne insensible. Elle est toujours très joyeuse, et aime partager sa bonne humeur aux autres. Elle se trouve parfois un peu trop proche de son entourage, dans le cadre du travail. Il lui est déjà arrivé de prendre un supérieur dans ses bras, c’est sa façon de remercié qu’elle ne contrôle pas vraiment. Mari est toutefois très sérieuse quand on parle de travail. Elle est d’ailleurs dotée d’une capacité d’analyse très bonne, mais il lui faut toujours regarder plusieurs fois. La jeune femme est passionnée par ce qu’elle fait. Mari n’aime pas qu’on se joue d’elle, quand elle se fait avoir par quelqu’un, elle se répète toujours la même phrase ; "La vengeance est un plat qui se mange froid." Et, mine de rien, elle finit toujours par se venger. C’est pourquoi, il ne faut jamais se mettre cette jeune femme sur les talons. Malgré ses airs de jeune femme naïve, elle a un fort caractère. Et parvient très souvent à persuader ses supérieurs par les mots. Mari déteste savoir que des preuves lui ont échappés. Mari s’est toujours s’adapté à n’importe qu’elle caractère, mais parfois, il lui arrive d’être gêné par un supérieur. Dans ce genre de situation, elle a des réactions nerveuses très bizarre.
Mari n’est pas une très bonne cuisinière, c’est souvent ce qui l’éloigne des garçons. Parce que les hommes aiment qu’on leurs prépare de bon petit plat. Et bien là, pas de chance, Mari déteste faire la cuisine. Elle préfère aller s’acheter des surgelés, des tartes toute prêtes. Qu’elle tricheuse. Mais, elle ne ment jamais sur le fait que ce n’est pas elle qui a fait les plats. Mari n’est pas une femme qui pardonne facilement, elle a d’ailleurs parfois tendance à tirer en longueur certaines conversations qui l’énerve. Il lui arrive d’être un peu égoïste. Mari est un peu fofolle sur les bords, elle aime beaucoup s’amuser.
Physique [3 lignes minimum/Pas de voir avatar] : Mari a des cheveux noirs ébènes qui lui tombent jusqu’aux épaules. Ses yeux sont d’une couleur marron foncé, presque noir. Et ils sont bridés, elle tient ce trait de sa mère qui venait du Japon. La jeune femme possède un visage ovale, très fin et elle en prend très soin. Il lui arrive de se maquiller, mais elle n’abuse jamais du maquillage et n’en met que très peu. Parfois, pendant des fêtes, elle rentre un peu dans l’excès. Mari est une femme d’une grande taille, elle mesure environ 1M78. Elle a de longue jambe fine, sa taille l’est également. Tout porte à croire que c’est une femme parfaite. Mais son caractère fait souvent fuir le sexe opposé. Son style vestimentaire est très varié, mais elle n’aime pas vraiment porter des jupes, elle préfère les robes. Cependant, elle n’en porte jamais lors de son travail. Elle porte très rarement des talons, elle trouve que ce genre de chaussure est très désagréable pendant son travail.
Histoire [10 lignes minimum] : La mère de Mari s’appelait Kotohira Sachio. Jeune femme née dans une modeste famille. Quant à son père, c’était un jeune américain, au nom de James Overstreet. Kotohira était arrivé à New York pour son travail, elle devait enseigner le japonais dans une université. C’est dans un simple bus qu’elle avait rencontré James. Et ils s’étaient très bien entendu du premier coup. Au bout de deux ans, ils décidèrent de vivrent dans un appartement ensemble, puis de se marier. C’est un an plus tard que la jeune Mari naquis. Très aimé par ses parents, le chérubin fut très câliné, il reçut beaucoup de cadeau. Une famille très heureuse. Le rêve américain. Mais, très vite, il y eut des complications, surtout à cause du travail de Kotohira. Elle dû démissionner, et devint donc une femme au foyer. Quand Mari atteignit ses cinq ans, James apprit que sa femme était touchée d’une maladie cancéreuse. Kotohira ne lui avait bien évidement jamais parlé de cette maladie, elle avait eu peur d’une réaction négative. James fut prit pendant quelques mois d’une folie, il ne s’en prit à personne, il n’était pas fou à ce point. Pour tout dire, la mère de famille était condamné depuis longtemps, et il n’y avait aucun remède à cela. Elle mourut donc quand sa fille eut ses six ans. James ne s’en remit pas, et déménagea avec sa fille à Miami.
[« Papa, pourquoi on s’éloigne de maman ?
-… il me faut du repos. Allez, maintenant, il faut se coucher. »
James se pencha lentement vers sa fille pour lui embrasser le front, et quand il se redressa, il sentit une main se poser sur sa joue.
« Il ne faut pas être si triste. »
Après ces mots, la petite fille ferma les yeux. James vivait maintenant seul avec cet enfant, son enfant. Avec son travail, il n’avait pas le choix d’engager une baby-sitter. Parfois, il était de garde la nuit, il ne pouvait pas toujours être là. Et il ne laisserait certainement pas sa fille seule à la maison. Il tenait à elle, autant qu’il avait tenu à sa femme. James s’était allongé dans son lit après avoir prit un somnifère. Depuis ce jour, il n’arrivait plus à très bien dormir, car ses pensées étaient trop encombrées.]
James engagea donc une baby-sitter. Elle avait 39 ans, elle s’appelait Stella Owens, elle est né à Miami et y réside encore et toujours. Marié à un avocat, elle a eu trois enfants qui ont tous plus de 18 ans maintenant. James prit le soin de faire un entretient avec elle, il apprit qu’elle avait travaillé dans la police criminel et qu’elle avait soudainement arrêté à cause d’une affaire qui l’avait trop atteinte. Mari grandit plus avec Stella que son père, mais cela ne l’empêchait pas de lui sauté au cou à chaque fois que celui-ci rentrer de travail. La jeune fille avait toujours été de nature joyeuse, mais, parfois, elle demandait à son père : « Maman, on pourra la voir ? » Cependant, James ne répondait jamais à sa question. Il l’évitait. Parce que, plus sa fille grandissait, plus il avait l’impression de voir sa femme. Mari n’avait eu de son père, que la forme du nez et la couleur des yeux.
Mari fit des études pour travailler en tant qu’experte en balistique dans la police scientifique. Bien entendu, Stella était le principal moteur de cette envie. Stella lui racontait que ce métier été difficile, elle avait plus tenté de lui dissuader de faire ce métier, mais sans le vouloir, elle donna l’envie d’essayer à la jeune fille…
Un jour, quand Mari avait eu ses 21 ans. Elle vivait toujours chez son père. Elle disparut de la maison, sans laisser de mot, ni de message sur le fixe. Rien. Son père fit remarqué sa disparition à la police, mais, c’est seulement au bout de quelques heures que James décida de prendre à son tour la voiture. Il prit la direction de New York, des heures et des heures à paniquer dans sa voiture. Quand il arriva devant un cimetière, il s’arrêta et accouru vers l’endroit ou il pensait trouver Mari.
La jeune fille était agenouillé devait la pierre tombale, elle avait la tête baisser, les mains jointes et les yeux fermés. James resta éloigné, et appela la police pour prévenir qu’il l’avait trouvé. Mari ne se retourna pas, comme si elle se fichait des sons alentours. James s’approcha finalement de sa fille, pour s’agenouillé à ses cotés, et dit :
« Kotohira était une femme magnifique. Mais, tu ne te souviens plus d’elle, c’est pour cela que tu es venu ici.
-Sa chaleur. C’est tout ce don je me souviens. »
Après ces mots, Mari tourna légèrement la tête vers son père, elle lui fit un léger sourire. Puis se releva tout aussi lentement, en laissant tomber des confettis sur la tombe. Mari leva un moment la tête vers le ciel, puis reporta son attention sur son père en disant :
« Tu aurais pu me montrer les cassettes où on la voyait. J’ai du trouvé toute seule. J’avais quand même besoin de savoir moi aussi. »
Un silence s’installa, James resta muet mais sa fille finit par rompre le silence.
« C’est parce que tu avais peur de te souvenir, tu veux l’oublier ?
-Bien sur que non. Ces souvenirs sont trop durs.
-Si tu as encore envi de me cacher des choses sur ma mère, alors continu. Mais, maintenant, j’ai 19 ans. Alors, je vais me débrouiller, tu ne me payeras plus rien. Je ne veux plus que l’on se voie. Même si tu n’es pas d’accord, même si cela te brise le cœur. Tant pis. Tu as juste voulu effacer ma mère de ma mémoire. Je rentre seule. »
Après ces mots, Mari prit le train pour retourner à Miami. Elle fit ses valises devant son père, elle prit même ses économies. Plutôt gros comme économie.
« Tu avais déjà prévu ? Avait questionné James.
-Cela fait depuis l’âge de 13 ans que j’économise. »
Mari du vivre donc seule, dans un petit appartement. Elle acheva ses études deux ans plus tard, et trouva un bon poste au sein de la police scientifique. Au début, elle eut du mal à vivre mais, par la suite, sa situation s’améliora. Pas facile de quitter la maison comme ça, sans savoir réellement comment est le monde adulte. Même si l’on a quelques bases, l’expérience n’y est pas.
Métier : Police scientifique
Spécialisation : Expert en balistique
Autour du RP :
Combien de jours par semaines pouvez vous êtres là ?
3 jours/Semaines
Sujet: Mari Overstreet 
Jeu 14 Juin - 18:35
