Mission 2 : So Far To Die/ scène de crime

[je serais le maître du Jeu pour cette mission]

C'est un quartier très glauque, on a l'impression d'être dans une ville fantôme. Des secours sont là mais le principal témoin, la prostituée a déjà été emmenée. La zone de sécurité a été établie. La victime est en dessous de sa fenêtre, contorsionnée dans une étrange position. Elle est asiatique et était apparemment très belle. L’immeuble est contrôlé par la police. Les experts y ont libre accés.

Indices sur victime : des morceaux de verres dans la main et sur la tête.

Indices Ruelle : La fenètre encore attachée au cou de la victime, le verre est brisé.

Appartement : Petit, pas trop de meubles, juste le nécessaire. Un gros tapis a poil long, des tableaux asiatiques, des livres japonais, un vielle ordinateur : sur l’écran on peut lire sous Word « Je n’en pouvais plus de vivre. Adieu. », l’armoire ne contient que quelques habits. L’ambiance générale : glauque, vieux et sale.

Le propriétaire attend en bas de l’immeuble, entouré de deux policiers. La plus part des voisins ne sont pas là et apparemment, n’ont rien entendus.

[rappel : N’inventez pas de scénario, vous inspectez quelque chose et vous attendez que le maître du jeu post une réponse et vous indique les résultats de vos analyses]

Alexx fut une des premières à arriver. Elle était entrain de pratiquer une autopsie sur un homme renversé par une voiture lorsqu’on l’appela pour une urgence. Apparemment la victime avait voulue se pendre par sa fenêtre est était tombée. La mort remontée donc, logiquement à quelques heures pas plus. Alexx se repassa son cour sur les indices temporels de la mort. Elle connaissait par cœur à force. Elle se gara avec son camion de transport devant la bande jaune « Crime Scene Do Not Cross » et elle descendit munit de sa petite mallette. Elle la posa à côté du corps et enfila des gans en latex. Elle attendit que le corps fut prit en photo sous tout les angles et commença son travaille. Elle dit haut et fort ses analyses que les premiers experts présents puissent noter.

« Corps chaud… Souple et sans lividités. La mort remonte à moins de 6heures apparemment dut à une pendaison... Blessures par chute ou causée à l’aide d’un objet, j’en saurais plus après l’autopsie en analysant l’angle de la blessure. Des morceaux de verres dans la blessure, peut être la fenêtre… Ma pauvre, tu as surestimé la force de cette fenêtre… »

Elle aperçue un petit bleu sur son poigné elle remonta la manche de la victime et découvrit plusieurs hématomes de différentes couleurs.

« Houla… He bien, ma fille, il n’y a pas que cette fenêtre qui t’es fait du tord… Multiples hématomes sur les bras… Les jambes et le ventre… Certainement un cas de maltraitance. Mais les bleus remontent à plusieurs semaines voir mois. Les premiers hématomes peuvent apparaîtrent au bout de 24h00… »

Elle observa les mains de la victime et fronça les sourcils.

« Il y a du verre sur sa main droite, mais pas sur la gauche. »

[Post contrôlé par le Maître du Jeu]

Sally arriva à peu prés en même temps qu’Alexx. Elle était entrain de boire un caché quand on la contacta. Elle prit une voiture de service et se rendit dans un des quartier les plus glauque de Miami. Ces quartiers malsains où les réseaux de prostitutions et les trafiques ne se cachent même plus pour opérer. La présence policière avait fait déserter les rues. Sally s’arréta devant le bandeau jaune et descendit de sa voiture. Elle observa le coin. Sombre, un témoin ne serait peut être pas valable lors de la parution au tribunal. De toute façon, à partla prostituée bléssée, personne n’avait rien vu, ou eprsonne n’avait rien voulue voir. Elle se tint à côté d’Alexx et écouta son diagnostique préliminaire. D’après l’admission de la seconde victime, la mort datait de 21heure 30 ou 22heure… Blessure par chute… Du verre… Il faudrait analysait chaque morceau… La femme se pencha au dessus d’Alexx après qu’elle eut parlé d’hématomes… Cette femme se cachait peut être…

« Mouais… C’est étrange, les suicidaires ont souvent hontes d’eux même, ils ne s’expose pas par la fenêtre pour se pendre… Il s’enferment dans une pièce totalement fermées, tirent les rideux… Bien que ce quartier ne soit pas beaucoup fréquenté, il y avait tout de même quelqu’un en bas, la victime aurait du la voir… »

Quand on lui avait proposé cette première enquête, Cameron avait sauté sur l'occasion. Bien qu'il doute fort que ses connaissances en matière d'incendies lui soient utiles, il pensait au moins que sa présence le serait et qu'il pourrait faire connaissance avec les autres et prouver son talent.
C'est ainsi qu'il se retrouva au volant d'une ford ranger grise assez vieille que lui avait attribuée la secrétaire.

Il s'arrêta au bout d'une rue miteuse qui ne lui disait rien qui vaille. Le scientifique chercha une poubelle avant de dépasser la bande jaune. Il en trouva une qui avait pris feu au moins 4 ou 5 fois: grâce à son entrennement il vit tout de suite que la majorité avait été causés par des coctails-molotof, mais il n'avait pas que ça à faire. Il cracha son chewing-gum, puis partit dans la direction d'un agent qu'on aurait pu surnommer "ours gris" du fait da taille massive et son uniforme gris.

Il montra son badge tout neuf au patrouilleur qui lui adressa un bref signe de tête, avant de se remplonger dans son magasine people.

*Si même les flics lisent ça on est mal*

Du coin de l'oeil il observa la scène. Sous une fenêtre (enfin ce qui restait d'une fenêtre), une femme examinait soigneusement le crops. Une autre se trouvait près d'elle.

*Alex Woods et Sally Stan... Stan... machin-chose si j'en crois le paneau d'affichage à l'acceuil.*

" Salut tout le monde, le newbie arrive"

Il se pencha par dessus l'épaule du médecin légiste et observa le cadavre. Il aurait bien aimé y trouver une trace de brulure, mais à première vu elle était juste couverte d'hématomes et de coupures.

" Y aurait pas quelqu'un de particuliérement sympa qui voudrait me fiare un résumé? "

Catherine qui était en train de faire un peu de paprasserie au bureau dû partir en vitesse, pour aller rejoindre la nouvelle mission qui l'attendait. Elle prit sa voiture et se rendit à l'endroit que lui avait indiqué la secrétaitre en venant la trouver. Dans sa voiture, Catherine regardait autour d'elle. Cet endroit était très pauvre et très... glauque. Elle trourna dans une autre rue puis appercu la scène de crime au loin. Elle garra sa voiture puis sortit. Elle montra son bagde à l'agent qui fesait de la patrouille puis elle se rendit près d'Alexx, qu'elle avait déja rencontré, et qui était entouré de deux autre personnes. Surment deux autre agents avec qui elle aurait à travailler. Son regard se transporta de la jeune femme par terre à la fenêtre cassé un peu plus haut. Ayant apporté son appareil-photo, elle décida qu'elle irait faire un petit tour dans l'appartement. Tout le monde avait l'air rassemblé autour de la jeune asiaique, alors elle repasserait.

" Je vais aller jeter un coup d'oeil à l'appartement... "

Elle entra donc dans l'immeuble puis elle monta deux long escalier avant de voir une porte avec encore le ruban jaune écrit "Crime Scene Do Not Cross" et elle l'engendra. Elle regarda vite l'appart. Vut le nombre très restreint d'objet, voir si il y avait eu de la bagare était très difficile. Mais ce qui se voyait très bien était les morceaux de verre par terre, juste en dessous de l'ancienne fenêtre...

Un claquement de pas, Cameron se retourna. Une femme rousse venait d'apparaitre. Après avoir jeté un bref regard au coprs, elle partit vers l'appartemment:

"Eh attends moi je viens avec toi!"

Cameron se releva brusquement mais réussit à ne bousculer personne sur son passage.

La femme était déja entrée dans l'appartement quand il franchit le seuil de la porte.

"J'ai du mal à croire qu'une femme aussi mignonne qu'elle ait pui habiter dans un trou pareil... "

Il se gratta la tête, et se retourna vers l'ordinateur.

"Chouette, en plus ça va être coton pour vérifier l'écriture... Je sais pas ce que tu en penses, mais je trouve que ça ne sent pas vraiment le suicicde..."

Sans laisser à sa coéquipière le temps de répondre il ajouta:

"Ca te dérange si je m'occupe des livres?"

Ce matin, très tôt, la jolie nipponne avait été prévenu d'une mission. A laquelle elle s'était immédiatement présenté. D'après ce qu'on lui avait dit, il n'y avait rien en particulier concernant les balles. La victime était tombé de la fenêtre d'un appartement. Elle était rapidement sortis de son bureau, pour prendre sa voiture et rejoindre la scène de crime. Mine de rien, elle était joviale. Mais elle ne montrerait en aucun cas cela. La jeune femme finit finalement par arrivé, certes un peu en retard, au lieu de rendez vous. De nombreux policiers se trouvaient déjà sur la scène, et la jeune femme commença à chercher le chef de mission des yeux. Sally Standford, une bien jolie femme. Elle ne lui avait parler que quelques fois, et ces quelques fois où elle avait parlé avec cette femme était dans le cadre du travail. Donc, Mari ne la connaissait pas plus que cela.
Puis, s'approchant dans la ruelle, montrant son passe aux policiers qui l'identifièrent pour la laisser passer. Elle leur adressa un petit sourire coquin puis s'approcha de Sally en disant d'un air respectueux :

"Excusez mon retard. J'ai eu quelques problèmes sur la route, notamment les bouchons, et les feux rouges."

Elle n'avait jamais eu de chance avec ces feux d'ailleurs, mais elle ne raconta pas plus. Mari était du genre à s'étaler un peu trop sur un sujet, mais ce n'était alors, vraiment pas le moment. Elle adressa un nouveau sourire à la patrone, puis décida de s'avancer pour voir le cadavre. Mari était trsite pour cette jeune femme, malgré le fait qu'elle soit prostitué, elle avait peut être des rêves plus tard. La jeune experte en ballistique identifia les diverses blessures, tout en écoutant Alexx silencieusement. Puis elle hocha la tête en disant :

"Je suppose que l'autre partie de l'équipe est déjà monté inspecter avec soin l'appartement. Je vais examiner le sol, s'il n'a pas laisser tomber quelques choses..."

En silence, elle mit ses gants pour s'approcher d'Alexx.[/i]

Catherine regarda son coéquipier. S'il voulait s'occuper des livres, il n'avait qu'à le faire. Elle lui répondit donc:

" Non... Vas-y.. "

Ensuite, elle regarda l'ordinateur. Elle prit une photo rapide de l'écran et du clavier. Elle déposa son appareil-photo juste à coter de l'écran puis elle enfilla ses gants qu'elle gardait dans les poches de sa veste. Elle minimiza la fenêtre World puis elle regarda le fond d'écran ainsi que les logiciels sur l'ordinateur. Il n'y en avait pas beaucoup. Elle décida d'inspecter les fichers... Rien de suspect. Mais elle ferait mieu de l'envoyer à des experts en informatique... Des gens dont c'était la spécialité...

Le boulot s'annonçait bien, les 4/4 des livres étaient en Japonais....

"Rien du côté des livres, je suis pas expert en Japonais mais je doute qu'ils soient intéréssant.
Relève les empreintes sur le clavier, c'est notre seul moyen de savoir si quelqu'un d'autre que la victime y a touché."

Le scientifique s'pprocha de la fenêtre et regarda en bas. Le corps était toujours là, étendue, et la mlégiste continuait son investigation mùétohdiquement.

"Je vais prélever quelques morceaux de verre, relever du sang au cas ou quelqu'un d'autre que la vitime se serait bléssé, et analyser ce qui reste de la fenêtre... Ce suicide me parrait bien étrange..."

Soucieux, Cameron se pencha et shoota la scène. Puis il passa au crible chaque recoin de la fanêtre, ou du moins, de ce qu'il en restait, ainsi que le sol au niveau de l'encadrement.

Mari : Tu trouve deux sortes de verres, du blanc opaque un peu arrondie et du verre totalement transparent et droit.

Cameron : La fenètre est brisée sous le choque de la chute. Du sang sur le côté.

Catherine : en effet, rien de suspect.

La femme noire soupira. Ce corps ne lui donnerait rien de plus pour l’instant. Tout laisser penser à un suicide pour l’instant mais elle en saurait plus à l’autopsie complète. Elle se leva et jeta un coup d’œil aux camions garés devant la bande jaune. Le transport du corps. Elle enleva ses gants et fit signes à des hommes de venir récupérer le cadavre. Elle sourit à Sally.

« Je te communique mon rapport de notre belle asiatique. Ou si tu veux assister à l’autopsie, je t’envoie un message. J’ai quelques corps sur les bras, il faut que je commence au plus tôt. »

En effet, ils n’étaient pas beaucoup de médecins légistes au laboratoire et les corps afflués tout les jours. Elle aurait préférée continuait son métier de départ qui consistait à sauver des vies pas à ausculter celles qui étaient déjà parties… Ces gens lui brisaient le cœur. Avant elle se contenter juste de consoler la famille et de laisser le corps à une société privée, là c’était différent. Elle les toucher totalement inanimés. Tout ça pour avoir voulu rendre justice à un pauvre malheureux. Elle ne se plaignait pas, elle aimait beaucoup l’ambiance au bureau et ses collègues, mais ce n’était pas la filière pour laquelle elle se destinait.

Sally sourit, les petits nouveaux semblaient bien s’en sortir sur le terrain. Elle espérait qu’ils auraient autant d’enthousiasme au niveau des rapports à remplir et de la paperasse à signer. Ils étaient tous comme ça au début, elle aussi l’avait été, et puis, la routine s’installe… On a nos petites habitudes et on les gardent. Souvent ce sont les mauvaises qui priment, mais Sally serait là pour les remettrent en place. Elle donna son accord pour le rapatriement du corps. Elle se tourna vers Mari qui analysait le reste de la fenêtre et les débris de verre.

« Je vais questionner le propriétaire et je monterais à l’appartement ensuite, tu me tient au courant de ce que tu trouve, tu emballe, tu étiquette et tu classe. Tu m’envois un message si tu retourne au laboratoire. »

Sally s’approcha du petit propriétaire, prit un carnet de note et un stylo.

« Bonjour monsieur, police scientifique, Lieutenant Sally Standford. J’aimerais savoir deux trois petites choses sur la victime. Elle vous payez le loyer tout les mois ? / Elle était bruyante ? / Elle a eu des problèmes avec quelqu’un une fois ? Un voisin ?/ Vous connaissiez son lieux de travaille ? / Quels étaient à peu prés ses horaires ? »

Il fallait se dépêcher, assaillir de question les gens n’étaient pas bien agréable mais il fallait faire vite. Déjà déterminer si il s’agissait bien d’un suicide ou d’un meurtre. Si la femme était en dépression, elle ne sortait pas beaucoup, avait certainement arrêté son travaille et ne voyait plus personne… Autant d’informations capitales qui peuvent être fausses. Les témoignages, l’indice le moins sur dans une enquête, quelle plaie…

Cameron passa au crible l'encadrement de la fenêtre, mais il ne trouva rien, absolument rien. Pas une seule trace de verre au sol, pas une seule empreinte. Il se retourna vers sa collègue, toujours penchée sur le PC:

"dis moi.... Si tu venais à te pendre par ta fenêtre, tu prendrais la peine de revenir à la vie et de tout nettoyer avant de reprendre ta place de cadavre comme si de rien était?"

il était parfaitement conscient de la tournur assez étrange de sa phrase, mais son père l'avait habitué aux métaphores et autres figures de style.
La déduction qui s'imposait: on avait aidé la victime à tomber... Reste à savoir si elle avait bien l'intention de se pendre ou si encore quelqu'un le lui avait montré la façon de faire...
Que de questions!!!!

il se retourna une nouel fois vers Catherine, pensif:

" Je te laisse quelques minutes il faut que je vois le chef d'équipe tout de suite."

Il adressa un clein d'oeil à sa collègue et sortit de l'appartement. Il descendit l'escalier à vive allure, et trouva Sally affairée avec le gardien de l'immeuble.

"Je peux te parler 5 minutes? J'ai quelques doutes à éclaircir"

Il s'éloigna d'un un recoint malodorant et attendit que la chef d'équipe se montre. Cette affaire ne lui disait rien de bon....

Le propriétaire est un homme de taille moyenne, de condition moyenne. Cheveux noirs rabattus sur le côté.

« Hum, elle payait tout les mois, une locataire parfaite. Pas un bruit, jamais… Sauf tout à l’heure, maintenant que vous me faite penser. J’ai entendue des cris au niveau des étages supérieurs. Je pensais que c’était le voisin en face d’elle, il s’engueule toujours avec sa copine. Mais il travaille de nuit, donc ça ne peut pas être lui. J’ai entendue la porte claquée peut après la montée de voix. Je n’ai rien vu. Une demi-heure après, vous étiez là… Il me semble qu’elle travaille dans un bar… Pas très net, les seules fois où elle est sortit, elle n’était pas franchement habillée chaudement. Elle sort souvent après 21h00 et revient au petit matin. Je crois que la journée elle dort. »

L’homme paraissait dur, un petit propriétaire qui connaissait bien ses locataires et qui gagnait bien sa vie.

Sally nota tout, cette dispute... C'était louche, ou bien c'était la eprsonne avec laquelle elle s'était disputée qui avait masqué son meurtre en suicide ou alors suite à la dispute, la victime avait décidée de mettre fin à ses jours. Un peu facile, mais déjà vu, sur lecoup de la colère on fait souvent des choses qu'on regrette. On ne réfléchit pas. Elle nota tout, apparement, aucun mensonge dans ses yeux ni dans sa voix. Il avait tourné ses yeux du bon côté, côté du souvenir et non de l'imaginatino c'st à dire du mensonge. Cet homme n'était en tout cas pas pour l'instant dans la liste des suspects. Elle entendit le nouveau l'appeler. Elle finti de tout noter, horaires, indices, ferma son carnet, remercia le propriétaire et demanda à un policier de l'éloigner. Elle se tourna et fit un sourire encourageant à la nouvelle recrue. Ce n'était jamais facile de commencer dans un nouveau travaille. Elle se revoyait il y a quelques années, jeune, spontanée et surtout, tête en l'air. Combien de fois, lors de ses rpemirèes enquètes, son chef de groupe avait du la reprendre sur un détail, qui au début était décisif ? Rha lala, belles années d'insouciances aprés quoi s'installe la routine. Biensur, quelques enquètes sépciales venaient éclairer le quotidien endormant mais c'était surtout les collègues et le fait d'enfermer des gens mauvais qui donner à ce métier tout son interêt.

"Oui ? Je t'écoute."

Elle mit ses mains sur ses hanches et se pencha un peu en avant pour être à sa taille. Elle était grande de nature et portait des talons, que de choses pour rendre difficile la communication avec la gente masculine ...

Sally était assez grande. D'après ce que voyais Cameron elle se croyait plus grande que lui, elle s'était donc légéremment penché. Le scientifique était appuyé contre le mur et avait donc perdu quelques centimètres. Mais il ne doutait pas que sa collègue pourrait tout de même rivaliser en taille si il se redresser.

Elle avait un visage fort sympathique et le mettait particuliérement à l'aise, même si il n'en avait pas vraiment besoin.

"Probabilité que ce soit un suicide, et qu'elle se soit bien suicidée seule: 10%... Grand maximum."

Il laissa sa phrase en suspens le temps qu'elle fasse son effet.

"Enfin personnelement je ne connais pas beaucoup de cadavre qui font leur ménage après s'être suicidé... Je n'ai pas retrouvé la moindre trace, pas la moindre empreinte, pas le moindre cheveux, pas la moindre tâche, sur l'encadrement de la fenêtre.
Si ça ne tenait qu'à moi, j'en conlurait donc que quelqu'un l'a aidé à tomber, voir même peut-être à se pendre."

Cameron reprit son souffle; Son truc, c'était les incendies, des flammes partout, des meubles carbonisés... les homicides sa le dépassait, mais il fallait bien qu'il fasse son boulot, et surtout ses preuves.

"Qu'est-ce que t'en penses?"

Catherine aquiesa quand son collègue lui dit qu'il allait revenir. Elle se retrouvait maintenant seule dans l'appartement. Elle pris quelques empreintes sur le clavier de l'ordinateur puis elle décida qu'il n'y avait surment plus rien à trouver sur cet objet. Elle regarda la pièce principale. A par la fenêtre, on ne trouverait surment pas grand chose.. Mais tout de même...

Catherine se pencha pour regarder de prêt la moquette sous ses pieds. Rien de très évident à trouver au premier coups d'oeil, mais elle trouva un long cheveux noir, qui devait bien évidemment appartenir à la victime, mais qui avait quelque chose de particulier. On voyait bien qu'à la racine, le cheveux était blanc, signe qu'il avait été arracher et non qu'il était tombé seul. Est-ce que la jeune femme s'amusait à s'arracher des cheveux ? Ou bien quelqu'un les lui avaient arraché ? Si quelqu'un lui avait arrché, était-ce cette même personne qui l'aurait surment aidé à se sucider ? Il n'y avait que des questions...

Attention Catherine : n'invente pas de preuves, mais je la garde car comme vous vous en doutez, ce n'est pas un meurtre

Catherine : Entre les fibres du gros et épais tapis tu repaire des petits morceaux de verres blancs et opaques. Ils ont une forme un peu arrondies+ Un peu de sangs et certains fibres du tapis sont plus applatis comme si un autre objet était dessus avant... C'est rond

Sally hocha la tête aux propos de Cameron. En effet, quelque chose clochait. Déjà, pas de pertes d’habitude et surtout, cette fameuse dispute. On tenait un témoin ou un suspect. Et puis, l’absence de preuve est une preuve en elle même. Aucune trace ni de traînée ni d’empreintes sur le rebord de la fenêtre était suspect. Trop suspect. Un suicidaire ne prend pas garde à ne pas laisser d’empreintes lorsqu’il saute et puis, il ne s’expose pas comme ça. On aurait du la retrouver dans un placard ou dans une chambre fermée, c’était plus plausible. L’assassin avait donc jeté la jeune femme par la fenêtre en faisant attention de ne pas laisser d’empreintes et était repartit. Si on avait rien trouvé sur le rebord de la fenêtre, le tueur aura prit soin d’effacer toute trace de son passage, donc, pas la peine de relever des empreintes sur la clenche… Ou juste pour avoir bonne conscience.

« Evidemment ça n’est pas un suicide, les suicidés ne s’expose pas en pleine rue, ils veulent être tranquille pour avoir assez de courage pour passer à l’acte et encore moins lorsqu’il y a quelqu’un en dessous… Et l’absence de preuve est une preuve. Bien que je n’y croit pas trop, essaye de relever des empreintes sur la clenche de la porte principale… Peut être que notre meurtrier est un tête en l’air… »

Elle observa son carnet de note. Et relut chaque phrase puis elle se dirigea vers l’immeuble.

« Elle travaillait le soir, dans un bar certainement, il y a certainement un objet venant de cette boite dans son appartement, ils fabriquent souvent des objets pour faire de la pub… Pendant ce temps, tu t’occupe de la clenche et tu transfert tout ce que tu as déjà au laboratoire. »

Cameron faillit éclater de rire aux propos de sa collègue. Il se contenta de sourire.

"Le problème c'est que je n'ai rien... Rien qu'une bibliothèque de livres Japonais... Maintenant si ça rentre dans ta voiture tu peux très bien les enmener."

Décidément cette enquête commençait sérieusement à tourner au ridicule. Il était temps d'avancer, d'avancer sérieusement.

"J'espère que Catherine aura plus de chance...."

En fait, il en doutait, mais mieux valer garder espoir que de s'écroumer en abandonnant tout.

"Bah écoute, ce que je te propose, je vais m'occuper de cette porte, même si la probabilité que j'y trouve des indices est faible, toi, tu recherche un objet pouvant nous indiquer le bar en question, et on se retrouve tous au labo pour un topo?"

Cameron ne pouvait s'empêcher de faire pas mal de suggestions dans ce genre, il avait beau ne pas être le chef de cette enquête, il voulait quand même donner son avis autant que possible.

Sally confirma le rendez-vous de Cameron est s'engagea dans l'escalier. Dans la montée elle se repassa la scène du meurtre avec juste le son. Dispute, cris, quelque chose se passe qui tue la victime, le meurtrier la porte, la trainne certainement, mais les experts n'avaient rien trouvés... Pas de traces ni de transfert d'aprés Cameron... Mais biensur, faute de débutant, il n'avait pas regardé les autres pièces certainement. Il fallait au moins regarder si elle avait un uniforme quelque chose pouvant la rattacher à son lieu de travaille, même un numéro de téléphone gribouillé sur une feuille. Apparement la femme savait écrire. Elle arriva devant la porte gardée par un policier. Elle entra dans la pièce principale. Elle s'approcha de Catherine.

"Bien joué pour les morceaux de verres, tu prend un échantillon de sang ?... Tu as vu ce contour sur le tapis ? Un ocjet rond s'y trouvait... Il faudrait que tu le cherche, je vais aller inspecter la salle de bain..."

Elle ouvrit les 2/3 portes qu'il y avait jusqu'à trouver la salle de bain...

Sally : Bien. La salle de bain est simple, carrelage blanc. Il y a une odeur de moisie, apparemment la locataire ne la nettoie pas souvent. Des habits par terre : Une mini jupe et un top noir.

Rien d'autre.

Cameron : 1paire d'empreintes sur la clenche.

Cameron suivit sa collègue dans les escaliers. Il se rendit seulement compte de l'odeur nauséabonde qui reignait dans l'immeuble. Enfin, peu lui importait, il avait une porte a analyser.
Une fois la scientifique dans l'appartement, Cameron sortit son matos et commença un examen bref à la lampe torche. Rien n'apparaissait sur la clenche... Ca aller être coton si il devait la soupoudrer complétement. Il se recula en se passant la main dans les veux, et là, le miracle se produisit:
Il percuta un vieil interupteur crasseaux qui s'enclencha. Une lumière pâle se relfeta dans une vitre et révéla deux empreintes sur la clenche de la porte.

"Depuis quand la chance est avec moi?"

Le scientifique fit un pas en avant pour soupoudrer les empreintes, mais aussitôt avait-il avançait d'un centimètre que le reflet ne rélélait plus les empreintes.

"Hip hip! hourra!!!!!"

Cameron se recula, de façon à revoir les deux petites tâches qui seraient peut-être importante à l'enquête. Il avançait prudemment, en gardant toujours un oeil sur les empreintes. Une fois arrivé à courte distance, il pressa la petite réserve au bout de son pinceau, et glissa les poils le long de la clenche. Les deux empreintes apparaissaient désormais clairement sur la porte. Le nouveau prit quelques clichés, puis sortit un adhésif concut pour le relever d'empreinte. Il applica délicatement le ruban sur l'empreinte, puis le décolla, et, lentement, replia le ruban sur une petite fiche cartonnée, en applatissant bien de façon à ne faire de bulle d'air.

Il pénétra dans l'appartement en affichant un sourire béat. Il trouva Catherine couchée sur le tapis, et la porte de la salle de bain ouverte.

"Besoin d'un coup de main?"

Il glissa la tête par l'entrebaillement de la porte de la salle d'eau, et regarda sa collège faire son travail.

Catherine toruva une morceau de verre avec du sang. Elle le prit et lle regarda un instant. Il était différent des autres. Juste au moment ou elle allait le mettre dans une enveloppe, Sally fit irruption dans l'appartement. Elle lui jeta un coup d'oeil rapide avant de se remettre à son boulot. Elle fini pas mettre le tout dans son enveloppe qu'elle ranga dans sa malette. Elle se murmura un petit oui quand Sally lui parla de l'objet rond qui devait se trouvé sur le tapis. Ensuite, Cameron entra lui aussi dans l'appartement. Après qu'il soit partit voir Sally dans la salle de bain, Catherine se releva puis elle regarda le tapis. Qu'est-ce qui pouvait avoir été là ? Elle décida de se promener un peu pour voir les lieux, et en même temps essayer de trouver ce qui pouvait bien être sur le tapis en question. L'experte passa devant la salle de bain et s'arrêta. Elle regarda ses deux collègues.

" Alors, est-ce que vous avez trouvé quelque chose d'intérésant jusqu'à date ? "

Sally nota les habits trouvés et réfléchi, c’était posé négligemment sur le sol… Elle n’était donc pas franchement portée sur la propreté et sur le rangement, mieux, ça confirmait le fait qu’elle vivait seule. Lorsqu’on tenait à peu prés à faire bonne impression à son colocataire on range au moins ses habits avant de se doucher. Peut être qu’elle s’est douchée après son service dans un bar miteux parce qu’elle avait fait quelques choses avec son corps dont elle n’était pas fière… Réflexes de femmes violées en quelques sortes. Elle soupira. Rien ne semblait être étrange. Elle sourit à Cameron.

« Non, à part la preuve qu’elle travaillait bien dans un endroit pas claire, rien ici. Et toi tu as trouvé des empreintes sur la clenche ? »

En même temps qu’elle parlait elle s’était dirigée vers une deuxième porte. Certainement la chambre. Le jour n’étant pas encore tout à fait levé, elle dégaina sa lampe de poche et l’alluma… Ha on voyait tout de même mieux… Cette ambiance un peu tamisée lui rappela son dîner avec le Lieutenant Caine la veille, rha non, il ne fallait pas sinon elle allait rougir et surtout se déconcentrer et donc louper des preuves. Elle garda un œil sur Catherine qui faisait pour l’instant du bon travail. Elle lui sourit.

« Pour l’instant rien de surprenant… Il faudra aussi chercher l’objet rond qui était sur ce tapis… »

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